Adoption et divorce en Chine : Droit de la famille

Publié le et rédigé par Cyril Jarnias

Le droit de la famille en Chine est un domaine complexe, en constante évolution, qui reflète les profondes transformations sociales du pays. Au cœur de ces ajustements juridiques figurent deux sujets cruciaux : l’adoption et le divorce.

Alors que la Chine modernise ses lois pour répondre aux besoins d’une population changeante, les pratiques autour de l’adoption ont dû s’adapter aux réalités socio-économiques modernes, notamment en offrant des garanties accrues pour les enfants et en simplifiant les procédures pour les parents adoptifs.

Parallèlement, les réformes autour du divorce cherchent à équilibrer entre tradition et modernité, face à une augmentation des taux de divorce et à une perception évolutive de l’union conjugale.

Ces changements soulèvent des questions fondamentales sur la manière dont la société chinoise perçoit la famille, rendant l’étude de ce cadre juridique non seulement fascinante mais essentielle pour comprendre les dynamiques sociales actuelles en Chine.

Les fondamentaux du droit de la famille en Chine

L’évolution historique du droit de la famille en Chine est marquée par une transition d’un système fondé sur les rites confucéens et des devoirs familiaux vers un modèle juridique codifié, influencé depuis la fin du XXe siècle par le droit occidental. Traditionnellement, le droit familial chinois était centré sur la hiérarchie familiale et les devoirs envers le clan ; cette approche a été progressivement supplantée par l’introduction de normes légales visant à protéger les droits individuels et à structurer clairement les relations familiales.

Les principes légaux fondamentaux

Les principes légaux fondamentaux qui régissent aujourd’hui le droit de la famille incluent :

  • Égalité devant la loi : tous les citoyens sont égaux dans l’accès au mariage, au divorce et à l’adoption.
  • Principe de rationalité juridique : chaque décision judiciaire s’appuie sur une prescription abstraite appliquée à une situation concrète.
  • Protection des intérêts des mineurs et parties vulnérables : obligation pour l’État d’assurer leur sécurité et leur bien-être.
  • Liberté contractuelle encadrée : liberté de se marier ou divorcer selon certaines conditions strictes.

Les principales lois en vigueur

LoiDomaine couvertDate d’adoption/modification
Code civilMariage, adoption, divorce2021
Loi sur le mariageConditions du mariageRéformée en 2001
Loi sur l’adoptionProcédure d’adoptionDernière révision en 1998

Récentes réformes législatives

  • L’entrée en vigueur du nouveau Code civil (2021), qui harmonise toutes les règles relatives au mariage, au divorce et à l’adoption.
  • La simplification des procédures de divorce avec introduction du « divorce par consentement mutuel » accéléré via procédure administrative.
  • L’assouplissement relatif aux politiques démographiques après la fin progressive de la politique de l’enfant unique.

Impact concret

La politique familiale évolue vers plus d’ouverture, comme illustré par :

  • Les couples ruraux autorisés dès 1984 à avoir un second enfant sous certaines conditions économiques spécifiques.
  • La possibilité accrue pour certains parents ayant eu un enfant illégalement d’obtenir une reconnaissance officielle moyennant paiement.

Application dans les tribunaux chinois

Les juges appliquent rigoureusement le principe d’égalité devant la loi mais disposent aussi parfois d’une marge interprétative selon les circonstances familiales locales.

Il existe néanmoins des variations régionales :

  • Dans certaines provinces rurales, on observe encore une préférence marquée pour les garçons due aux traditions sociales locales.
  • Dans plusieurs grandes villes (Pékin, Shanghai), on constate que les procédures judiciaires sont généralement plus rapides et modernisées que dans certaines zones rurales où subsistent encore quelques pratiques coutumières non codifiées.

Exemples concrets

  • Un couple urbain souhaitant divorcer peut bénéficier rapidement du « divorce express » sans audience si aucune contestation n’est soulevée par l’une des parties.
  • En matière d’adoption internationale ou nationale, il est exigé que l’intérêt supérieur de l’enfant soit démontré, avec enquête sociale systématique avant toute décision finale.

Principes théoriques mis en pratique

Égalité devant la loi
Un homme ou une femme peut demander librement le divorce sans crainte officielle ni discrimination juridique.

Protection sociale renforcée après réforme
Les enfants issus d’unions non enregistrées peuvent désormais accéder plus facilement aux aides publiques grâce aux nouvelles dispositions civiles postérieures à 2016.

Points clés synthétiques

  • Droit familial historiquement fondé sur Confucius puis modernisé sous influence occidentale
  • Principes actuels : égalité – rationalité – protection
  • Lois majeures : Code civil (2021), lois spécifiques mariage/adoption/divorce
  • Réformes récentes facilitant notamment séparation consensuelle
  • Application variable selon région urbaine/rurale

Le nouveau Code civil marque un tournant majeur dans la protection individuelle au sein des familles chinoises tout en préservant certains aspects traditionnels.

Bon à savoir :

Le droit de la famille en Chine a évolué significativement depuis les réformes post-révolutionnaires, avec la première loi sur le mariage introduite en 1950, établissant l’égalité des sexes et éliminant le mariage arrangé. Actuellement, les principes légaux fondamentaux incluent le mariage comme union volontaire et monogame, régie par la loi sur le mariage de 1980, révisée en 2001 pour inclure des dispositions sur le divorce par consentement mutuel et l’application plus flexible des jugements dans les cas de divorce contentieux.

L’adoption est régie par la loi de 1991 révisée en 1999, qui stipule que l’âge minimal pour adopter est de 30 ans, avec une prévalence pour les enfants des parents décédés ou incapables. La réforme législative majeure récente est celle du Code civil de 2021, introduisant des changements dans la résiliation du mariage, comme la période de réflexion de 30 jours avant l’officialisation d’un divorce consensuel, ce qui vise à réduire les divorces impulsifs.

L’application de ces lois peut varier entre les régions, illustrée par des instances où les tribunaux urbains peuvent adopter des interprétations plus progressistes par rapport aux régions rurales. Par exemple, à Shanghai, les tribunaux encouragent des accords de médiation pour les questions de garde d’enfants post-divorce, une pratique moins courante dans d’autres provinces.

L’adoption en Chine : législation et procédures pour les expatriés

Résumé de la législation chinoise actuelle en matière d’adoption

La législation chinoise sur l’adoption est encadrée principalement par la Loi sur l’Adoption de la République Populaire de Chine et par des mesures administratives spécifiques pour les étrangers. Depuis août 2024, la Chine a suspendu les adoptions internationales, à l’exception des adoptions intrafamiliales (c’est-à-dire par des membres de la famille jusqu’au troisième degré de parenté, comme les oncles, tantes, frères, sœurs et cousins germains). Les expatriés ne peuvent donc adopter en Chine que s’ils remplissent les critères de parenté requis et si l’adoption respecte également la législation du pays de résidence de l’adoptant.

Seuls les enfants à besoins spécifiques (EBS) sont proposés à l’adoption internationale, et la plupart des cas concernent désormais des adoptions intrafamiliales ou exceptionnelles.

Critères d’éligibilité pour les expatriés

Les principaux critères d’éligibilité sont les suivants :

  • Lien familial requis : L’adoptant étranger doit être un parent par le sang (pas par alliance) de l’enfant, dans la limite de trois degrés de parenté (frères, sœurs, cousins germains).
  • Âge : L’adoptant doit généralement avoir au moins 30 ans.
  • Statut matrimonial : Les couples mariés sont privilégiés, mais il est possible d’adopter seul sous certaines conditions.
  • Santé : Les adoptants doivent être en bonne santé physique et mentale, sans maladies chroniques graves.
  • Revenu : Preuve de ressources financières stables suffisantes pour subvenir aux besoins de l’enfant.
  • Casier judiciaire : Absence de condamnations pour crimes graves.

Étapes clés de la procédure d’adoption pour les expatriés

ÉtapeDescriptionDélai estimé
1Constitution du dossier (via autorité centrale ou agence accréditée du pays de résidence) : rapport social, attestations, agrément, etc.3-6 mois
2Transmission et examen du dossier par l’autorité centrale chinoise2-4 mois
3Appariement avec l’enfant (si éligible)Variable
4Déplacement en Chine pour l’adoption : entretien, signature de documents, enregistrement auprès du bureau des affaires civiles provincial2-3 semaines sur place
5Obtention du certificat de conformité (Convention de La Haye) et du passeport de l’enfant1-2 semaines
6Demande de visa long séjour adoption auprès du consulat du pays de résidence1-2 semaines

Documents requis (liste indicative) :

  • Rapport social ou familial établi par une autorité ou agence accréditée
  • Copie des passeports et photos
  • Attestations de ressources et de logement
  • Certificats médicaux
  • Certificat de casier judiciaire
  • Preuve du lien de parenté (pour adoption intrafamiliale)
  • Agrément à l’adoption délivré par le pays de résidence

Rôle des agences d’adoption accréditées et autres intermédiaires

Les expatriés doivent obligatoirement passer par une agence d’adoption accréditée dans leur pays de résidence, qui est en lien avec l’autorité centrale d’adoption en Chine.

  • Ces agences aident à la constitution du dossier, à la transmission des documents et servent d’intermédiaire tout au long du processus.
  • Elles assurent également le suivi post-adoption imposé par la législation chinoise et la Convention de La Haye.
  • Les agences chinoises accréditées coordonnent l’appariement, organisent les rendez-vous sur place et facilitent la finalisation de l’adoption.

Obstacles et défis pour les expatriés et conseils pratiques

  • Suspension des adoptions internationales : Depuis août 2024, seules les adoptions intrafamiliales sont possibles, ce qui réduit considérablement les possibilités pour les expatriés non liés par le sang à l’enfant.
  • Lenteurs administratives : Le traitement des dossiers peut être long, et la collecte des documents exige une grande rigueur.
  • Évolution législative rapide : Les règles changent régulièrement ; il est essentiel de se tenir informé auprès des autorités compétentes et des agences accréditées.
  • Reconnaissance de l’adoption dans le pays de résidence : Il peut y avoir des divergences légales entre la Chine et le pays d’origine de l’adoptant, nécessitant parfois une adaptation du dossier ou une procédure complémentaire.

Conseils pratiques :

  • Privilégier un accompagnement par une agence expérimentée et reconnue.
  • Anticiper les traductions, légalisations et authentifications de documents.
  • Maintenir un contact régulier avec l’autorité centrale et l’agence accréditée pour suivre l’avancement du dossier.
  • Se préparer à un séjour prolongé en Chine pour finaliser l’adoption.

Exemple pratique (cas intrafamilial récent)

Un expatrié français souhaitant adopter le fils de sa sœur (son neveu) vivant en Chine doit :

  • Obtenir un agrément d’adoption en France.
  • Constituer un dossier complet via l’AFA ou un OAA.
  • Fournir la preuve du lien de parenté.
  • Se rendre en Chine pour finaliser l’adoption devant les autorités locales.
  • Demander ensuite un visa long séjour adoption pour l’enfant.

Impact des évolutions législatives récentes

La fermeture quasi-totale des adoptions internationales hors cadre familial impose aux expatriés de justifier d’un lien de parenté direct, ce qui limite fortement les possibilités d’adoption classique en Chine pour les étrangers. Seules les procédures respectant strictement la législation chinoise et la Convention de La Haye sont désormais acceptées.

Important : Toute tentative d’adoption individuelle, sans passer par les canaux officiels, est strictement interdite et expose à un refus d’enregistrement ou à des poursuites.

Bon à savoir :

En Chine, la législation actuelle impose que les expatriés souhaitant adopter passent par le Centre chinois d’adoption pour enfants (CCAA), en respectant des critères stricts : être mariés depuis au moins deux ans si c’est le premier mariage ou cinq ans s’il y a eu divorce antérieur, être âgés de 30 à 55 ans, et jouir d’une bonne santé mentale et physique. Les futurs parents doivent également avoir un revenu annuel d’au moins 10 000 dollars par membre de la famille, y compris l’enfant adopté, et posséder un patrimoine net minimum de 80 000 dollars. La procédure implique de soumettre un dossier complet incluant des vérifications de casier judiciaire et des évaluations psychologiques, suivie par une longue attente avant l’appariement avec un enfant; cela peut prendre de 12 à 36 mois. Les agences d’adoption accréditées jouent un rôle crucial dans l’accompagnement des familles, en facilitant le processus administratif et en aidant à la traduction des documents nécessaires. Les défis courants incluent les longues périodes d’attente et la complexité bureaucratique, accentuées par les récentes politiques restrictives. Pour surmonter ces obstacles, il est conseillé de travailler avec des agences expérimentées et de participer à des groupes de soutien pour échanger des informations pratiques entre expatriés.

Guide du divorce pour les expatriés en Chine

Cadre légal du divorce pour les expatriés en Chine

Le divorce des expatriés en Chine est régi par la loi chinoise sur le mariage et la famille, mais la loi applicable peut varier selon la nationalité des époux et le lieu d’enregistrement du mariage. En principe, la Chine accepte de traiter des divorces impliquant au moins un époux chinois, un mariage enregistré en Chine ou la résidence habituelle d’un des époux en Chine depuis au moins un an. Si les deux époux sont étrangers mais résident en Chine depuis au moins un an, ils peuvent également divorcer devant les juridictions chinoises.

Différences entre divorce à l’amiable et divorce contentieux

CritèreDivorce à l’amiable (mutuel)Divorce contentieux
ProcédureAdministrativeJudiciaire
Autorité compétenteBureau des Affaires CivilesTribunal populaire
Accord des épouxNécessaireUnilatéral possible
Durée estiméeRapide (quelques semaines)3 à 6 mois ou plus
CoûtModéréPlus élevé
Représentation légaleNon obligatoireSouvent recommandée
  • Divorce à l’amiable : Les deux époux doivent se présenter ensemble au Bureau des Affaires Civiles avec les documents requis. Ce divorce est rapide, peu coûteux et ne nécessite pas nécessairement l’intervention d’un avocat.
  • Divorce contentieux : Si un accord n’est pas trouvé, l’un des époux peut saisir le tribunal. Le juge statue alors sur la dissolution du mariage, le partage des biens, la garde des enfants, etc.

Processus pour initier une procédure de divorce

  1. Vérifier la compétence du tribunal ou du Bureau des Affaires Civiles selon le lieu de résidence et la nationalité.
  2. Réunir les documents nécessaires :
    • Certificat de mariage original et traduction si besoin
    • Passeports ou pièces d’identité des deux époux
    • Permis de résidence ou preuve de résidence en Chine
    • Accord écrit sur le divorce et la garde des enfants (pour divorce à l’amiable)
    • Liste des biens communs et documents financiers (pour divorce contentieux)
  3. Contact avec l’entité compétente :
    • Divorce à l’amiable : Bureau des Affaires Civiles du district de résidence
    • Divorce contentieux : Tribunal populaire du lieu de résidence d’un des époux
  4. Entamer la procédure : Dépôt du dossier, paiement des frais administratifs ou judiciaires, convocation éventuelle à une audience.

Difficultés potentielles pour les expatriés

  • Problèmes de juridiction : Les tribunaux chinois peuvent refuser de statuer si aucun des époux n’est domicilié en Chine ou si le mariage n’a pas de lien suffisant avec la Chine.
  • Reconnaissance internationale : Le divorce prononcé en Chine n’est pas automatiquement reconnu à l’étranger. Certains pays exigent que le divorce ait été prononcé dans le pays de résidence habituelle ou selon leurs propres critères. Il peut être nécessaire de faire reconnaître la décision par les autorités du pays d’origine.
  • Langue et accès à l’information : Les procédures sont en chinois et la compréhension des implications juridiques peut être difficile sans assistance spécialisée.
  • Partage des biens et pensions : L’application de la loi étrangère ou chinoise dépend du régime matrimonial et de l’accord des parties, ce qui peut compliquer la liquidation du patrimoine.

Impacts sur la garde des enfants pour les familles expatriées

Les tribunaux chinois privilégient l’intérêt supérieur de l’enfant. L’autorité parentale, la résidence de l’enfant et les droits de visite peuvent être décidés selon la loi chinoise, même si l’enfant n’a pas la nationalité chinoise.

Il peut être difficile pour un parent étranger d’obtenir la garde ou un droit de visite effectif, surtout si l’autre parent reste en Chine.

Les décisions de garde prises en Chine peuvent ne pas être exécutoires dans le pays d’origine si elles ne respectent pas ses normes.

Conseils pratiques et ressources pour les expatriés

  • Consulter rapidement un avocat spécialisé en droit international de la famille, idéalement parlant votre langue.
  • Vérifier la reconnaissance du divorce dans votre pays d’origine avant d’entamer la procédure.
  • Préparer tous les documents nécessaires, y compris les traductions certifiées conformes.
  • Contacter le consulat ou l’ambassade pour des conseils administratifs et la reconnaissance du divorce.
  • Envisager la médiation familiale pour limiter les conflits et faciliter les accords à l’amiable.

Ressources utiles

  • Avocats spécialisés en divorce international à Shanghai, Pékin et autres grandes villes chinoises.
  • Bureaux des Affaires Civiles locaux (pour divorces à l’amiable).
  • Tribunaux populaires (pour divorces contentieux).
  • Services consulaires de votre pays d’origine pour la reconnaissance du divorce.

Important : La complexité des situations de divorce pour les expatriés en Chine nécessite un accompagnement juridique personnalisé et une attention particulière à la reconnaissance internationale des décisions.

Bon à savoir :

Le divorce pour les expatriés en Chine est régi par le cadre légal chinois, où deux types de divorce existent : à l’amiable et contentieux. Le divorce à l’amiable nécessite un accord mutuel entre les époux, tandis que le divorce contentieux peut être initié par l’un des époux devant les tribunaux. Pour commencer la procédure, il faut fournir des documents tels que le certificat de mariage et les passeports, et contacter les bureaux de l’état civil local ou le tribunal populaire selon le type de divorce. Les expatriés peuvent rencontrer des difficultés liées à la juridiction, notamment si leur mariage ou biens sont enregistrés à l’étranger, ce qui peut compliquer la reconnaissance internationale des décisions de divorce. Les familles expatriées doivent être attentives aux impacts potentiels sur la garde des enfants, souvent influencés par la résidence principale des enfants. Il est conseillé de consulter un avocat spécialisé en droit international ou de contacter l’ambassade locale pour obtenir des ressources adaptées et surmonter les éventuels obstacles administratifs.

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A propos de l'auteur
Cyril Jarnias

Cyril Jarnias est un expert indépendant en gestion de patrimoine internationale avec plus de 20 ans d'expérience. Expatrié, il se consacre à aider les particuliers et les chefs d'entreprise à construire, protéger et transmettre leur patrimoine en toute sérénité.

Sur son site cyriljarnias.com, il développe son expertise sur l’immobilier international, la création de société à l’étranger et l’expatriation.

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