Créer son Entreprise aux Philippines : Guide Entrepreneurial

Publié le et rédigé par Cyril Jarnias

Naviguer dans le monde entrepreneurial en tant qu’expatrié aux Philippines

Naviguer dans le monde entrepreneurial en tant qu’expatrié peut s’avérer être une aventure à la fois excitante et complexe, surtout aux Philippines, un pays en pleine croissance économique qui offre une myriade d’opportunités.

Cet article propose un guide détaillé pour ceux qui souhaitent comprendre les essentiels de la création d’entreprise dans ce pays d’Asie du Sud-Est, depuis les aspects juridiques jusqu’aux nuances culturelles à appréhender.

Que vous soyez attiré par le marché innovant des technologies ou par les secteurs traditionnels, comprendre les spécificités locales devient crucial pour transformer votre rêve entrepreneurial en réalité prospère.

Sommaire de l'article masquer

Comprendre les structures juridiques aux Philippines

Structure juridiqueResponsabilité des propriétairesCapital minimum requisActionnaires étrangersImplications fiscales
Entreprise individuelleIllimitée (responsabilité personnelle)AucunNon autorisés à détenir une entreprise en nom propreImposition sur le revenu personnel
Société collective (Partnership)Générale : illimitée
Limitée : limitée pour certains associés
Généralement aucun, sauf accord contraire entre associésPossible mais restrictions selon secteursFiscalité au niveau de la société ou des associés selon structure
Société par actions (Corporation/OPC)Limitée aux apportsGénéralement PHP 5,000 pour domestique
USD 200,000 pour filiale étrangère*
(*réduit à USD 100,000 si >50 emplois créés)
Oui. Restrictions dans certains secteurs via FINLImposition sur les sociétés

Principales caractéristiques par structure

Entreprise individuelle

  • Structure simple et rapide à mettre en place.
  • L’entrepreneur est responsable indéfiniment de toutes les dettes.
  • Convient aux petites activités et travailleurs indépendants.
  • Enregistrement auprès du Department of Trade and Industry (DTI).
  • Les étrangers ne peuvent pas être propriétaires uniques.

Société collective (Partnership)

  • Deux types : générale ou à responsabilité limitée.
    • Générale : tous responsables solidairement.
    • Limitée : responsabilité limitée pour certains partenaires selon apport investi.
  • Pas d’exigence légale de capital minimum, sauf stipulation contractuelle spécifique ou secteur réglementé.
  • Peut inclure des partenaires étrangers sous conditions sectorielles.

Société par actions (« Corporation », incluant OPC — One Person Corporation)

  • Personne morale distincte, responsabilité limitée aux apports des actionnaires.
  • Minimum deux actionnaires classiques ; OPC possible avec un seul associé/actionnaire depuis la réforme R.A.11232.
  • Existence perpétuelle indépendante des fondateurs sauf stipulation contraire.

Les sociétés étrangères peuvent établir une filiale (« subsidiary ») ou un bureau (« branch office », « representative office »). Les montants minimaux varient selon l’activité :

  • Filiale: USD 200.000 / USD 100.000 (>50 salariés)
  • Bureau de liaison: uniquement présence administrative – pas d’activité commerciale directe

Réglementations locales et restrictions spécifiques

Certains secteurs sont fermés totalement ou partiellement aux capitaux étrangers via la « Foreign Investment Negative List » (FINL). Avant toute implantation, vérifier si l’activité envisagée figure dans cette liste.

Étapes administratives d’enregistrement

  1. Vérification/réservation du nom commercial auprès du SEC ou DTI
  2. Dépôt du capital social en banque et obtention d’un certificat bancaire
  3. Notarisation des statuts constitutifs
  4. Dépôt dossier complet auprès du SEC comprenant :
    • Statuts constitutifs notariés,
    • Affidavit trésorier,
    • Preuve dépôt capital,
    • Liste détaillée rôles/actionnaires/partenaires,
    • Engagements écrits divers exigés par le SEC

Restrictions concernant les expatriés

Les expatriés ne peuvent pas créer une entreprise individuelle ni détenir directement certaines entreprises dans les domaines réservés exclusivement aux Philippins.

Conseils pratiques pour entrepreneurs expatriés

  • Privilégier la forme « corporation » classique ou OPC afin de limiter sa responsabilité personnelle tout en respectant le cadre légal local ;
  • Toujours consulter la FINL avant toute démarche afin d’éviter un refus ultérieur lié au secteur choisi ;
  • S’entourer systématiquement de professionnels locaux spécialisés (avocats/juristes/fiduciaires), notamment pour naviguer dans les exigences complexes lors de l’enregistrement et garantir conformité fiscale ;
  • Pour faciliter l’installation rapide sans activité commerciale immédiate : opter éventuellement pour un bureau représentatif (« liaison ») puis transformer ultérieurement ce statut dès qu’une activité commerciale sera envisagée ;
  • Prévoir plusieurs mois entre le début des démarches administratives et la pleine opérationnalité juridique – anticiper ces délais dans votre planification entrepreneuriale.

⚠️ Les choix structuraux ont un impact direct sur votre niveau de protection patrimoniale personnelle, vos possibilités fiscales ainsi que votre capacité à attirer investisseurs locaux/internationaux—l’arbitrage dépendra donc principalement :

• De votre profil étranger/local
• Du secteur ciblé
• De vos ambitions en termes d’expansion future

Bon à savoir :

Les expatriés doivent noter que les Philippines imposent un capital minimum de 200 000 USD pour les entreprises majoritairement détenues par des étrangers, avec des associations en partenariat local souvent indispensables pour une propriété fluide. Optant pour une société par actions, il est crucial de respecter les exigences locales sur la composition du conseil d’administration qui requiert au moins 60 % de membres philippins pour certaines industries.

Les démarches administratives pour créer son entreprise

Étapes clés des démarches administratives pour créer une entreprise aux Philippines

1. Choix de la structure juridique

  • Sole proprietorship : Entreprise individuelle, propriété unique, responsabilité illimitée.
  • Partnership : Association de deux personnes ou plus, responsabilité conjointe.
  • Corporation : Entité juridique distincte, responsabilité limitée des actionnaires, formalisme accru.

Le choix de la structure détermine les démarches spécifiques à suivre.

2. Réservation et enregistrement du nom commercial

Vérification de la disponibilité du nom via les plateformes en ligne du DTI (pour les sole proprietorships) ou du SEC (pour corporations et partnerships).

Cette étape évite les litiges et garantit l’unicité du nom.

3. Enregistrement auprès des autorités compétentes

Type d’entrepriseAutorité d’enregistrementDocuments principaux requis
Sole ProprietorshipDepartment of Trade and Industry (DTI)Formulaire DTI, preuve d’adresse, pièce d’identité
Partnership/CorporationSecurities and Exchange Commission (SEC)Statuts constitutifs, règlements, adresse, affidavits, TIN des fondateurs

DTI : Donne un certificat d’enregistrement pour l’entreprise individuelle.

SEC : Délivre le « Certificate of Incorporation » ou de « Registration » pour sociétés et partnerships.

4. Obtention des autorisations locales

Barangay Clearance : Délivrée par le barangay où l’entreprise sera implantée.

Pièces : Certificat DTI/SEC, pièce d’identité, bail ou preuve d’adresse, formulaire complété.

Mayor’s Permit / Business Permit : Délivrée par la mairie (City/Municipal Hall).

Pièces : Certificat DTI/SEC, Barangay Clearance, bail ou titre de propriété, permis d’occupation, certificat de sécurité incendie.

Certains permis locaux peuvent être demandés en ligne selon la municipalité.

5. Enregistrement fiscal auprès du Bureau of Internal Revenue (BIR)

Démarches obligatoires pour tous types de structures

  • Obtention du numéro d’identification fiscale (TIN)
  • Enregistrement des livres comptables
  • Autorisation d’imprimer (ATP) pour les reçus et factures officiels
  • Participation à un séminaire BIR sur la conformité fiscale

Formulaires à utiliser

  • BIR Form 1901 : Pour les sole proprietors
  • BIR Form 1903 : Pour les partnerships et corporations

À l’issue de cette étape, il faut disposer de :

  • Certificat d’enregistrement (BIR Form 2303)
  • Livres comptables estampillés
  • Autorisation d’imprimer (ATP) et carnets de reçus officiels

6. Autres licences et permis spécifiques

Selon l’activité (alimentaire, santé, import/export…), des licences additionnelles sont requises auprès d’agences spécialisées (FDA, DOH, Customs, etc.).

Différences selon la structure juridique

ÉlémentsSole ProprietorshipPartnershipCorporation
EnregistrementDTISECSEC
ResponsabilitéIllimitéeConjointe ou limitéeLimitée aux apports
FiscalitéImpôt sur le revenu personnelImpôt sur le revenu des sociétés ou des partenairesImpôt sur les sociétés
GouvernanceSimple (propriétaire unique)Accord de partenariatStatuts, conseils d’administration

Conformité fiscale et obligations comptables

Dépôt des états financiers :

  • Corporations et partnerships doivent déposer des états financiers audités annuellement auprès du SEC et du BIR.
  • Sole proprietors : Déclaration annuelle de revenus auprès du BIR, avec pièces justificatives.

Déclarations fiscales régulières :

TVA, impôt sur les sociétés, retenues à la source, et autres obligations selon la taille et l’activité de l’entreprise.

Mises à jour récentes :

  • Digitalisation progressive des démarches (enregistrement en ligne possible pour certains permis locaux).
  • Renforcement des contrôles sur la conformité des reçus officiels et des livres comptables.
  • Nouvelles exigences sur la transparence des bénéficiaires effectifs pour les sociétés.

À retenir :

  • La structure choisie conditionne les démarches et la fiscalité.
  • L’obtention des permis locaux (Barangay, Mayor’s Permit) est indispensable avant toute activité.
  • La conformité BIR est centrale : sans certificat BIR, aucune opération légale n’est possible.
  • Un suivi rigoureux des obligations fiscales et comptables est exigé, sous peine de sanctions.

Bon à savoir :

Pour créer une entreprise aux Philippines, enregistrez-vous d’abord auprès de la SEC, puis obtenez les autorisations du BIR et du DTI; notez que les exigences varient selon que vous choisissez une corporation, une partnership, ou une sole proprietorship. Assurez-vous de respecter les exigences fiscales locales, y compris le dépôt d’états financiers annuels, tout en tenant compte des licences locales requises.

Considérations fiscales et accès au financement pour expatriés

Analyse des implications fiscales pour les expatriés créant une entreprise aux Philippines

Les expatriés souhaitant créer une entreprise aux Philippines sont soumis à plusieurs obligations et opportunités fiscales. Le système fiscal philippin distingue entre résidents et non-résidents, mais applique des règles similaires aux sociétés locales ou détenues par des étrangers.

Type de taxeTaux applicableObservations principales
Impôt sur le revenu des sociétés30% sur le bénéfice netS’applique aux sociétés domestiques et étrangères résidentes ; certains sièges régionaux bénéficient d’un taux réduit à 10%. Les entreprises non-résidentes sont taxées uniquement sur leurs revenus de source philippine, avec parfois une retenue finale supérieure sur les revenus passifs.
TVA (Value-Added Tax)12%S’applique à la plupart des biens/services vendus localement, y compris depuis 2025 sur les services numériques fournis localement par acteurs étrangers ou locaux. Certaines activités spécifiques peuvent être exonérées ou soumises à la TVA à taux zéro selon leur statut d’exportation.
Taxes locales (LGU taxes)Variable selon municipalitéComprend la business permit fee, community tax certificate, taxes foncières… Leur montant dépend du type d’activité et du chiffre d’affaires local.

Principales réformes récentes :

  • Facturation électronique obligatoire pour de nombreuses entreprises.
  • Transmission en temps réel des données de transaction au Bureau of Internal Revenue (BIR).
  • Extension explicite de la TVA numérique pour inclure tous les prestataires opérant dans l’archipel.

Exemptions et incitations fiscales

Les investisseurs étrangers peuvent accéder à différentes incitations :

  • Zones économiques spéciales : implantation possible dans certaines zones franches offrant l’exonération temporaire d’impôt sur le revenu (généralement 4–6 ans) puis un taux préférentiel forfaitaire autour de 5%.
  • Incitations sectorielles : projets relevant du Board of Investments (BOI) ou investissant dans l’industrie exportatrice/technologique peuvent bénéficier d’exonérations supplémentaires.

Pour être éligible :

  • L’entreprise doit souvent répondre à des critères précis liés au secteur prioritaire ou au volume d’investissement.

Options de financement accessibles aux expatriés

Liste synthétique :

  • Banques locales : accès limité sans historique bancaire philippin ni collatéraux locaux ; exigence fréquente que l’entreprise soit déjà enregistrée auprès du BIR pour ouvrir un compte professionnel.
  • Programmes publics :
    • Certains dispositifs gouvernementaux ciblent secteurs stratégiques via subventions/prêts bonifiés – mais ces aides privilégient habituellement les entreprises majoritairement philippines.
    • Accès facilité si société implantée en zone économique spéciale.
  • Investisseurs privés / Business Angels / Fonds VC :
    • Présents principalement dans la tech/startup/scène fintech locale ;
    • Préfèrent s’associer avec cofondateurs ayant expérience locale/asiatique ;
    • Pitch deck professionnel en anglais indispensable.

Défis courants & solutions lors de l’accès au crédit pour non-résidents

Défis :

  • Absence historique bancaire/philanthropique local
  • Nécessité fréquente d’un garant philippin
  • Processus administratifs longs lors création compte pro

Solutions pratiques :

  1. Nouer un partenariat avec un actionnaire/référent résident disposant déjà d’antécédents bancaires solides.
  2. Envisager joint ventures avec acteurs locaux reconnus afin de renforcer crédibilité auprès banques/investisseurs.
  3. Utiliser plateformes fintech offrant ouverture rapide comptes pro digitaux adaptés entrepreneurs internationaux.

Ressources utiles :

  • Chambres bilatérales commerce
  • Incubateurs spécialisés accueil startups étrangères
  • Consultants fiscaux accrédités BIR

Créer son entreprise aux Philippines requiert donc anticipation fiscale rigoureuse ainsi qu’une stratégie proactive pour lever fonds — combinant préparation administrative minutieuse, veille réglementaire constante et réseautage ciblé auprès partenaires locaux fiables !

Bon à savoir :

Les entrepreneurs expatriés aux Philippines doivent prévoir l’impôt sur le revenu des sociétés, la TVA, et les taxes locales, mais peuvent bénéficier d’incitations fiscales s’ils investissent dans des zones économiques spéciales; de plus, bien que l’accès au crédit soit difficile pour les non-résidents, se tourner vers les investisseurs privés ou les programmes de financement public peut être une solution viable.

Différences culturelles et ressources d’accompagnement business

Aspects culturels clés qui influencent les affaires aux Philippines :

  • Relations personnelles et confiance
    Les affaires reposent avant tout sur la construction de relations de confiance. Il est fréquent de privilégier la connaissance personnelle avant la transaction, ce qui implique de participer à des événements sociaux et de prendre le temps d’échanger sur la vie personnelle avant d’aborder le travail.
  • Communication indirecte et polie
    Les Philippins utilisent une communication indirecte pour éviter d’embarrasser ou de vexer l’interlocuteur. Les désaccords sont exprimés avec délicatesse, souvent par des indices non verbaux. Élever la voix ou afficher de la colère fait perdre la face et nuit à la relation professionnelle.
  • Hiérarchie et respect de la séniorité
    Le respect de la hiérarchie est fondamental. Les titres et les formules de politesse (« Sir », « Ma’am ») sont systématiquement employés. Les décisions sont prises au sommet de l’organisation, et il peut être difficile d’accéder directement au décideur. Le processus de négociation est souvent lent et nécessite un consensus de groupe.
  • Normes vestimentaires et ponctualité
    Une tenue professionnelle conservatrice est attendue. La ponctualité est appréciée, mais il est courant que les réunions commencent avec un léger retard.
  • Pratiques commerciales spécifiques
    Le don de cadeaux, la participation à des déjeuners ou dîners d’affaires et l’échange de cartes de visite (souvent avec les deux mains) sont des gestes valorisés pour renforcer les liens.

Exemples concrets de différences culturelles pouvant affecter les expatriés entrepreneurs :

Différence culturelleImpact pour l’expatrié entrepreneur
Communication indirecteNécessité d’interpréter les non-dits et les sous-entendus
Importance de la hiérarchieDécisions lentes, accès indirect au décideur
Relations avant affairesTemps d’adaptation pour établir la confiance
Sensibilité à la perte de faceÉviter la critique publique et les confrontations ouvertes
Attitude détendue face au tempsPrévoir des marges pour les retards et les processus longs
Curiosité personnelle dans l’échangeQuestions sur la vie privée, pouvant surprendre certains

Sensibilités culturelles à prendre en compte :

  • Éviter les sujets sensibles (politique, religion, argent)
  • Toujours rester courtois, même en cas de désaccord
  • Adapter son langage corporel : éviter le contact visuel prolongé, ne pas pointer du doigt

Ressources locales d’accompagnement pour entrepreneurs étrangers :

  • Chambres de commerce étrangères
    (ex : Chambre de Commerce et d’Industrie Française aux Philippines, British Chamber of Commerce Philippines)
    Facilitent le réseautage, proposent des ateliers interculturels et mettent en relation avec des partenaires locaux.
  • Associations de soutien aux entreprises
    (ex : Philippine Business for Social Progress, Philippine Exporters Confederation)
    Offrent des conseils, de la formation et des informations sur la législation locale.
  • Consultants en acculturation et cabinets de conseil interculturel
    Proposent des sessions de formation sur les pratiques locales, la communication, et les négociations interculturelles.
  • Programmes de mentorat et incubateurs
    (ex : QBO Innovation Hub, IdeaSpace)
    Accompagnement personnalisé, partage d’expériences avec des entrepreneurs ayant déjà réussi leur intégration.

Comment ces ressources facilitent l’adaptation culturelle et le succès commercial :

  • Accélération de la compréhension des codes locaux
    Formations et séminaires permettent d’éviter les faux pas culturels et d’adapter son style de management.
  • Réseautage efficace
    Accès à des événements, clubs d’affaires et contacts qualifiés pour accélérer la construction de relations de confiance.
  • Support administratif et juridique
    Conseils sur la création d’entreprise, la fiscalité, le recrutement et la gestion des ressources humaines.
  • Mentorat personnalisé
    Suivi par des pairs ou des experts locaux pour mieux anticiper les difficultés et saisir les opportunités du marché philippin.

À retenir :

La réussite entrepreneuriale aux Philippines passe par la maîtrise des codes culturels, la construction de relations solides, le respect de la hiérarchie et l’utilisation active des ressources locales d’accompagnement pour surmonter les défis de l’acculturation.

Bon à savoir :

Les entrepreneurs expatriés aux Philippines doivent naviguer dans un environnement où le respect de la hiérarchie et une communication indirecte sont essentiels ; des ressources comme les chambres de commerce et les consultants en acculturation offrent un soutien précieux pour comprendre ces nuances culturelles et réussir.

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A propos de l'auteur
Cyril Jarnias

Cyril Jarnias est un expert indépendant en gestion de patrimoine internationale avec plus de 20 ans d'expérience. Expatrié, il se consacre à aider les particuliers et les chefs d'entreprise à construire, protéger et transmettre leur patrimoine en toute sérénité.

Sur son site cyriljarnias.com, il développe son expertise sur l’immobilier international, la création de société à l’étranger et l’expatriation.

Grâce à son expertise, il offre des conseils avisés pour optimiser la gestion patrimoniale de ses clients. Cyril Jarnias est également reconnu pour ses interventions dans de nombreux médias prestigieux tels que BFM Business, les Français de l’étranger, Le Figaro, Les Echos ou encore Mieux vivre votre argent, où il partage ses connaissances et son savoir-faire en matière de gestion de patrimoine.

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