Investissement immobilier en Turquie : avantages et restrictions

Publié le et rédigé par Cyril Jarnias

L’investissement immobilier en Turquie attire de plus en plus d’investisseurs étrangers, séduits par un mélange alléchant de croissance économique dynamique et de cadre législatif favorable. Avec des avantages fiscaux notables, tels que l’exonération de la TVA pour l’achat de biens immobiliers par des résidents non turcs et une absence de taxe sur les plus-values après une période de détention de cinq ans, la Turquie se positionne comme un marché attrayant. Cependant, il est crucial de bien comprendre les restrictions qui encadrent ce secteur, notamment les règles concernant l’acquisition de propriétés par des étrangers dans certaines zones stratégiques et les limitations potentielles de la propriété foncière. Cet article explore en profondeur les opportunités et les défis de l’investissement immobilier dans ce pays aux promesses multiples.

Avantages fiscaux de l’investissement immobilier en Turquie

Avantages fiscaux pour les investisseurs immobiliers étrangers en Turquie

  • Exonération de TVA sur l’achat immobilier neuf
    Les investisseurs étrangers peuvent bénéficier d’une exonération de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) lors de l’achat de biens immobiliers neufs auprès d’un promoteur, à condition :
  • De ne pas avoir résidé en Turquie au cours des 6 derniers mois.
  • Que le paiement soit effectué en devise étrangère.
  • De conserver le bien au moins 1 an (sinon la TVA devient exigible rétroactivement).
  • Que l’achat concerne un bien de première main, prêt à l’emploi, avec certificat de construction.
  • Les terrains et biens d’occasion restent soumis à la TVA.

Exemple :
Un investisseur étranger qui achète un appartement neuf d’une valeur de 2 000 000 TRY peut économiser jusqu’à 20 % (400 000 TRY) sur le prix d’achat grâce à l’exonération de TVA, selon le taux applicable à la zone.

  • Absence de taxe foncière pour les propriétés neuves
    Pour les nouvelles constructions, la taxe foncière peut être exonérée pendant les 5 premières années suivant l’acquisition. Cette mesure vise à encourager l’achat de biens immobiliers neufs.

Exemple :
Sur une propriété d’une valeur cadastrale de 1 000 000 TRY, l’exonération permet d’économiser chaque année la taxe foncière (généralement 0,1 à 0,3 % de la valeur), soit 1 000 à 3 000 TRY/an.

  • Traitement fiscal favorable des revenus locatifs
    Les revenus locatifs bénéficient d’un abattement forfaitaire (généralement 15-25 %), puis sont imposés selon un barème progressif. Les charges (entretien, intérêts d’emprunt, assurances) sont également déductibles. Les investisseurs étrangers sont imposés uniquement sur les revenus générés en Turquie.

Exemple :
Pour un revenu locatif brut de 100 000 TRY/an, un abattement de 15 % réduit le revenu imposable à 85 000 TRY, puis l’impôt est calculé sur cette base.

  • Fiscalité avantageuse sur les plus-values immobilières
    La plus-value réalisée lors de la revente d’un bien immobilier est exonérée d’impôt si le bien est détenu depuis plus de 5 ans. En deçà de cette durée, la plus-value est imposée selon un barème progressif.

Exemple :
Un investisseur qui revend son bien après 6 ans ne paie aucun impôt sur la plus-value, ce qui améliore significativement la rentabilité nette de l’opération.

  • Réductions d’impôts pour investissements en zones de développement ou projets d’infrastructure
    Des incitations supplémentaires existent pour les investissements dans certaines zones ou projets stratégiques :
  • Exonération ou réduction de l’impôt sur les sociétés ou sur le revenu.
  • Exonération de TVA et de droits de douane sur les équipements et matériaux importés pour la construction.
  • Aide à l’affectation de terrains par l’État.
  • Subventions pour les cotisations sociales sur l’emploi créé (jusqu’à 10 ans dans certaines zones prioritaires).

Exemple :
Un investisseur développant un complexe hôtelier dans une zone de développement peut bénéficier d’une exonération totale de TVA sur la construction, de l’allocation gratuite d’un terrain et d’une réduction de 50 % de l’impôt sur les sociétés pendant 10 ans.

Avantage fiscalCondition principaleImpact concret sur l’investissement
Exonération de TVAAchat neuf, paiement en devise étrangère, détention ≥ 1 anRéduction du prix d’achat de 1 à 20 % selon le bien
Exonération de taxe foncière (5 ans)Acquisition d’un bien neufAucune taxe foncière pendant 5 ans
Abattement sur revenus locatifsDéclaration des revenus locatifsRéduction du revenu imposable de 15 à 25 %
Exonération de plus-value (>5 ans)Détention du bien > 5 ansPlus-value totalement nette d’impôt
Réductions en zone de développementInvestissement dans une zone ou projet éligibleExonérations multiples (TVA, impôts, cotisations sociales)

Exemples d’impact sur le rendement

– Achat d’un bien neuf pour 2 000 000 TRY, revente après 6 ans avec une plus-value de 500 000 TRY :
– Économie de 400 000 TRY sur la TVA
– Aucun impôt sur la plus-value
– Rentabilité accrue par l’absence de taxe foncière pendant 5 ans

– Investissement locatif générant 100 000 TRY/an pendant 5 ans :
– Abattement de 15 000 TRY/an
– Déduction supplémentaire des charges réelles
– Fiscalité compétitive par rapport à de nombreux pays européens

Conditions d’éligibilité générales

  • Statut d’investisseur étranger (ne pas résider plus de 6 mois/an en Turquie pour certaines exonérations)
  • Achat d’un bien neuf auprès d’un promoteur
  • Investissement dans une zone ou un projet bénéficiant du statut d’incitation
  • Respect de la durée minimale de détention pour certaines exonérations

Résumé encadré

Les avantages fiscaux turcs permettent d’optimiser la rentabilité des investissements immobiliers grâce à des exonérations de TVA, de taxe foncière, une fiscalité douce sur les revenus locatifs et les plus-values, ainsi que des incitations renforcées dans les zones de développement.

Bon à savoir :

Les investisseurs étrangers en Turquie bénéficient d’une exonération de la TVA pour l’achat de certaines propriétés, un avantage significatif qui permet de réaliser des économies considérables dès l’acquisition. De plus, les nouvelles propriétés sont exemptes de taxe foncière les cinq premières années, réduisant ainsi le coût global de l’investissement. En termes de revenus locatifs, le pays offre un traitement fiscal favorable, encourageant ainsi la location de biens immobiliers tout en améliorant les rendements nets. Les gains provenant de la revente de propriétés détenues depuis plus de cinq ans ne sont pas imposables, ce qui optimise les bénéfices réalisés à long terme. Les investissements dans des zones de développement ou projets d’infrastructure peuvent également bénéficier de réductions fiscales, sous réserve de respecter certaines conditions telles que l’emplacement ou le type de développement. Par exemple, investir dans un projet touristique dans une région désignée pour son développement peut réduire considérablement l’impôt sur le revenu. Ces mesures fiscales positives rendent l’immobilier turc attractif, augmentant le potentiel de gain pour les investisseurs avertis.

Acheter une maison en Turquie : opportunités et défis

Acheter une maison en Turquie : opportunités et défis

Opportunités d’achat immobilier en Turquie

  • Marché attractif et dynamique : Les prix restent compétitifs comparés à d’autres destinations méditerranéennes, avec une forte demande internationale, notamment grâce à l’assouplissement des règles pour les étrangers depuis 2012.
  • Diversité régionale :
    • Istanbul : Centre économique et culturel, idéal pour la location ou la plus-value à moyen terme.
    • Antalya & Alanya : Prisées pour les résidences secondaires et la retraite, avec une forte demande européenne et russe.
    • Bodrum & Fethiye : Marchés haut de gamme, parfaits pour le luxe et l’art de vivre.
    • Izmir & Çeşme : Régions en développement rapide, offrant de bonnes perspectives de valorisation.
  • Prévisions de croissance :
    • Le marché reste porté par la démographie, l’urbanisation rapide et le tourisme.
    • Les régions côtières continuent d’attirer les investisseurs étrangers.
  • Avantages économiques et culturels :
    • Coût de la vie inférieur à l’Europe de l’Ouest.
    • Fiscalité immobilière souvent avantageuse, notamment sur les plus-values et droits de succession.
    • Possibilité de demander la citoyenneté turque sous conditions d’investissement.
    • Qualité de vie élevée : climat méditerranéen, richesse culturelle, hospitalité.

Tableau comparatif des régions populaires

RégionAtout principalProfil d’acheteurSpécificités
IstanbulForte demande locativeInvestisseur urbainMarché compétitif
Antalya/AlanyaPlages, climat douxRetraités, famillesDemande étrangère élevée
Bodrum/FethiyeLuxe, qualité de vieAcheteur haut de gammePrix plus élevés
Izmir/ÇeşmeMarché en développementPrimo-accédant, investisseurForte croissance attendue

Principaux défis pour les acheteurs internationaux

  • Complexités administratives :
    • Obtention du titre de propriété (Tapu) nécessite des démarches précises auprès du bureau du cadastre.
    • Nécessité de vérification de l’éligibilité selon la nationalité et la situation géographique du bien.
  • Variations régionales de la réglementation :
    • Certaines zones (militaires, stratégiques, proches des frontières) sont interdites à l’achat pour les étrangers.
    • Les restrictions peuvent changer selon les décisions présidentielles.
  • Stabilité politique et économique :
    • Le contexte géopolitique peut influencer le marché et la sécurité des investissements.
    • Les fluctuations de la livre turque peuvent impacter la valeur réelle du bien pour un investisseur étranger.

Exemples concrets et conseils pratiques

Exemple : Un investisseur européen a acheté un appartement à Antalya pour 90 000 €. En trois ans, la valeur a augmenté de 25 % grâce à l’essor du tourisme local.

Conseils :

  • Toujours vérifier l’absence de dettes ou d’hypothèques sur le bien avant l’achat.
  • Faire appel à un avocat spécialisé pour sécuriser la transaction et garantir la conformité aux lois turques.
  • Prendre en compte la fiscalité locale : impôt foncier annuel, taxes d’achat, éventuelles exonérations pour les non-résidents.
  • Se renseigner sur les restrictions spécifiques à la zone géographique visée.

Avantages fiscaux et restrictions

Avantages :

  • Exonérations fiscales possibles pour les nouveaux propriétaires étrangers sur certains types de biens.
  • Imposition modérée sur les revenus locatifs et les plus-values, sous réserve de respecter la législation locale.

Restrictions :

  • Impossible d’acheter dans les zones militaires, de sécurité ou stratégiques.
  • Limite de superficie cumulée pour les étrangers (30 hectares par personne physique sur tout le territoire turc).

Liste de points clés à retenir pour investir en Turquie

  • Vérifier l’éligibilité et les restrictions selon la zone choisie.
  • Anticiper les démarches administratives et juridiques.
  • S’informer sur la fiscalité et les avantages potentiels.
  • Considérer la stabilité politique et économique avant tout engagement.
  • Privilégier les régions en développement pour maximiser la valorisation à moyen terme.

La Turquie offre un marché immobilier en pleine expansion, des opportunités de valorisation attractives et une grande diversité régionale, mais exige rigueur et accompagnement juridique pour sécuriser l’investissement des acheteurs internationaux.

Bon à savoir :

Acheter une maison en Turquie présente de nombreuses opportunités, notamment dans des régions populaires comme Istanbul et Izmir ou encore en pleine croissance comme Antalya et Bodrum. Le marché immobilier turc montre des prévisions de croissance intéressantes grâce à une économie dynamique et à des tendances touristiques positives. Les avantages d’une propriété en Turquie incluent une riche culture, un climat agréable, et des structures fiscales avantageuses comme l’exonération de la TVA sous certaines conditions pour les acheteurs étrangers. Cependant, les acheteurs potentiels doivent naviguer des défis administratifs complexes, car les processus d’achat peuvent varier considérablement selon les régions, avec des différences réglementaires importantes. Les préoccupations concernant la stabilité politique et économique doivent également être prises en compte. Pour minimiser ces risques, il est conseillé de faire appel à des agents immobiliers locaux expérimentés et de se renseigner sur les réglementations locales. Des conseils tels que vérifier les titres de propriété et s’assurer de la conformité des biens avec les réglementations locales peuvent éviter des complications à long terme.

Réglementations sur les terres agricoles en Turquie

Cadre législatif actuel concernant l’achat et l’utilisation des terres agricoles

Les terres agricoles en Turquie sont régies par un ensemble de lois qui encadrent l’acquisition, l’utilisation et la protection de ces terres. Historiquement, la législation vise à protéger la vocation agricole des terres et à limiter leur fragmentation ou leur conversion vers d’autres usages.

Règles pour les résidents et les non-résidents

  • Les citoyens turcs peuvent acheter et exploiter des terres agricoles sans restriction notable, sous réserve du respect des règlements locaux d’aménagement et d’environnement.
  • Les étrangers sont soumis à des restrictions spécifiques concernant l’acquisition de terres agricoles. Ils ne peuvent pas acquérir des terres dans certaines zones stratégiques (zones militaires, régions frontalières, zones de sécurité nationale) et la superficie totale détenue par des étrangers ne doit pas dépasser un certain pourcentage de la surface d’une province.

Restrictions spécifiques applicables aux étrangers

CatégorieDroit d’acquérir des terres agricolesRestrictions territorialesLimitations de superficie
Citoyens turcsOuiRespect des plans locauxPas de plafond national
Personnes morales turquesOuiRespect des plans locauxPas de plafond national
Étrangers (personnes physiques)Oui, avec restrictionsInterdiction dans les zones sensibles et frontalièresPlafond par province et national (variables selon décret)
Entreprises à capitaux étrangersOui, sous conditionsAutorisation préalable, contrôle accruLimites de superficie et d’activité

Processus administratif pour l’achat

  • Dépôt d’un dossier auprès du cadastre local avec vérification du titre foncier.
  • Vérification par les autorités compétentes (ministère de l’Agriculture, Défense et Intérieur) pour s’assurer que la parcelle ne se situe pas dans une zone interdite.
  • Pour les étrangers, obtention d’une autorisation préalable du ministère compétent.
  • Signature de l’acte de vente devant notaire et enregistrement auprès du registre foncier.

Exceptions et dispositions spéciales

Certaines régions à statut particulier, notamment les régions frontalières et proches des infrastructures stratégiques, sont totalement inaccessibles à l’achat par des étrangers.

Des dérogations existent pour certains projets d’investissement d’intérêt public, mais elles restent rares et dépendent d’une validation au plus haut niveau administratif.

Évolutions législatives récentes

En juillet 2025, une nouvelle loi a été adoptée permettant l’exploitation minière sur certaines terres agricoles, y compris des champs d’oliviers et des forêts. Cette loi vise à accélérer les projets miniers et énergétiques au nom de l’intérêt public, au prix d’une dérégulation qui inquiète les défenseurs de l’environnement et du patrimoine agricole.

Ce texte s’inscrit dans une tendance plus large à favoriser la croissance économique et l’investissement, parfois au détriment de la préservation agricole.

Impacts sur le marché immobilier agricole

L’ouverture accrue à l’exploitation minière sur des terres agricoles pourrait entraîner une diminution de la surface réellement dédiée à l’agriculture, augmenter la spéculation foncière et déstabiliser les prix des terres.

Les restrictions sur les étrangers, bien que visant à préserver le contrôle national sur les ressources, peuvent limiter l’attractivité pour les investisseurs internationaux, surtout en cas de durcissement ou d’incertitude réglementaire.

Analyse dans le contexte des politiques économiques turques

Ces règles reflètent l’équilibre recherché entre la souveraineté alimentaire, la protection des ressources naturelles et la volonté d’attirer des capitaux étrangers.

Les récentes mesures de dérégulation témoignent d’une priorité donnée à la croissance rapide et à la valorisation des ressources naturelles, parfois au détriment de l’agriculture traditionnelle.

Les investisseurs potentiels doivent composer avec un environnement réglementaire en évolution, marqué par des opportunités (libéralisation, projets d’infrastructure) mais aussi par des risques (incertitude législative, opposition locale, enjeux environnementaux).

Implications pour les investisseurs

  • Nécessité de procéder à une analyse approfondie de la localisation, du statut foncier et des perspectives d’évolution réglementaire avant tout investissement.
  • Vigilance accrue concernant les risques de changements législatifs et les potentielles oppositions sociales ou environnementales, surtout dans les zones sensibles.
  • Opportunités à saisir pour les projets conformes aux priorités nationales (agro-industrie, exportations, innovation), mais prudence requise dans les segments exposés à la concurrence d’autres usages du sol (mines, énergie).

Bon à savoir :

En Turquie, les lois actuelles stipulent que l’achat et l’utilisation de terres agricoles sont principalement réservés aux citoyens turcs, bien que les étrangers puissent également investir sous certaines conditions strictes. Ces restrictions incluent des limitations de superficie et des interdictions d’achat pour les ressortissants de certains pays. Les résidents étrangers doivent obtenir une autorisation préalable du ministère turc de l’Agriculture et suivre un processus d’approbation rigoureux, incluant des vérifications de sécurité et de conformité environnementale. De plus, des zones spécifiques, souvent stratégiques pour la sécurité nationale ou l’écologie, sont totalement interdites d’achat. Récemment, des réformes législatives ont été mises en place pour assouplir partiellement ces restrictions, telles que l’augmentation de la limite de superficie pour encourager les investissements, tout en s’intégrant dans la stratégie nationale de modernisation agricole. Ces mesures, bien qu’elles visent à stimuler le marché, peuvent également constituer un frein à court terme pour les étrangers en raison de la bureaucratie et des recours limités en litige foncier. Pour les investisseurs, comprendre les nuances régionales, telles que les régimes d’exception dans certaines provinces comme Antalya pour l’agrandissement de vergers ou de vignobles, pourrait offrir des opportunités intéressantes dans un cadre généralement restrictif.

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A propos de l'auteur
Cyril Jarnias

Cyril Jarnias est un expert indépendant en gestion de patrimoine internationale avec plus de 20 ans d'expérience. Expatrié, il se consacre à aider les particuliers et les chefs d'entreprise à construire, protéger et transmettre leur patrimoine en toute sérénité.

Sur son site cyriljarnias.com, il développe son expertise sur l’immobilier international, la création de société à l’étranger et l’expatriation.

Grâce à son expertise, il offre des conseils avisés pour optimiser la gestion patrimoniale de ses clients. Cyril Jarnias est également reconnu pour ses interventions dans de nombreux médias prestigieux tels que BFM Business, les Français de l’étranger, Le Figaro, Les Echos ou encore Mieux vivre votre argent, où il partage ses connaissances et son savoir-faire en matière de gestion de patrimoine.

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