Droit du travail en Turquie : guide pour expatriés

Publié le et rédigé par Cyril Jarnias

Droit du travail en Turquie pour les expatriés : Protections et obligations

Dans un monde globalisé où le mouvement international des talents est plus courant que jamais, comprendre le droit du travail d’un pays devient essentiel pour les expatriés. En Turquie, les normes qui régissent les protections et obligations des travailleurs expatriés sont à la fois attirantes et complexes, reflétant une mosaïque de législations locales et internationales.

Les lois turques assurent aux expatriés des droits fondamentaux tels que la sécurité sociale, mais ils doivent également naviguer dans un paysage juridique qui impose des obligations strictes en matière de contrat de travail et de permis de séjour.

Cet article explore ces éléments cruciaux, offrant un guide indispensable pour toute personne désireuse de travailler dans ce pays fascinant et aux multiples facettes.

Sommaire de l'article masquer

Déchiffrer les contrats de travail en Turquie pour expatriés

Types de contrats de travail pour expatriés en Turquie

Type de contratDescriptionSpécificités pour expatriés
Durée indéterminéeContrat sans limite de temps.Accessible aux expatriés avec permis valide. Obligatoire par écrit si >1 an.
Durée déterminéePrend fin à l’échéance fixée dans le contrat.Souvent utilisé pour missions temporaires d’expatriation, nécessite un écrit si ≥1 an.
Sur convocation/intermittentTravail selon les besoins ponctuels définis par l’employeur.Peu courant pour les expatriés, mais possible sous conditions spécifiques.

Différences légales avec les locaux :

  • Les types et formes des contrats sont similaires, mais l’obtention préalable d’un permis de travail est obligatoire pour tout salarié étranger, alors que ce n’est pas le cas pour un citoyen turc.
  • Un employeur doit prouver qu’aucun local ne peut occuper le poste avant d’embaucher un étranger.
  • Les obligations déclaratives (sécurité sociale, impôts) s’appliquent spécifiquement à la situation migratoire du salarié.

Protections légales applicables aux expatriés

  • Durée du contrat
    • Pas de distinction majeure dans la durée maximale ou minimale entre locaux et étrangers.
    • Pour les CDD ≥1 an : obligation d’un écrit précisant toutes les conditions.
  • Obligations de l’employeur
    • S’assurer que le salarié dispose d’un permis valide (et renouvelé).
    • Respecter les normes salariales minimales et fournir des conditions sûres.
    • Déclarer l’employé auprès des autorités sociales et fiscales.
  • Droits au chômage
    • Accès au système turc sous réserve que toutes les cotisations aient été payées pendant la période requise ; attention, certains visas ou statuts spécifiques peuvent restreindre cet accès.
  • Résiliation
    • Procédure identique : notification écrite obligatoire (avec préavis légal variable selon ancienneté).
    • Indemnité de licenciement due après un an d’ancienneté continue chez le même employeur.

Obligations particulières des salariés expatriés

  • Obtenir et maintenir en règle leur permis de travail (et résidence), en coordination avec leur employeur.
  • Se conformer à la loi fiscale turque : déclaration des revenus mondiaux si résident fiscal (>183 jours/an) ; parfois imposition limitée aux revenus générés localement sinon.
  • Respect strict du contenu contractuel lié à leur statut migratoire : toute activité non autorisée par leur permis expose à une résiliation immédiate sans indemnité ni droit au chômage.

Exemples concrets / Études de cas

Un ingénieur français recruté par une société technologique stambouliote signe un CDI. L’entreprise obtient son permis via le ministère compétent avant prise effective du poste. Après deux ans, suite à une restructuration économique, il est licencié : il bénéficie alors du même préavis qu’un Turc ainsi que d’une indemnité proportionnelle à son ancienneté—sous réserve que ses cotisations aient bien été versées durant son emploi.

Une enseignante étrangère recrutée sur CDD annuel dans une école internationale voit son contrat renouvelé chaque année : chaque renouvellement nécessite aussi prolongation ou réémission du permis correspondant.

Ressources utiles en cas de litige ou question juridique

  • Ministère turc du Travail et Sécurité sociale (Çalışma ve Sosyal Güvenlik Bakanlığı)
  • Barreau local (Barolar Birliği) – consultation gratuite parfois possible
  • Cabinets spécialisés comme Karanfiloglu Avocats
  • Associations internationales telles que IOM ou chambres consulaires étrangères

Pour toute démarche complexe ou contentieux relatif au travail, il est fortement recommandé aux expatriés en Turquie de consulter rapidement un avocat spécialisé.

Bon à savoir :

En Turquie, les expatriés peuvent signer différents types de contrats de travail, tels que les contrats à durée déterminée, souvent préférés par les employeurs, et les contrats à durée indéterminée, qui offrent plus de sécurité. Contrairement aux locaux, les expatriés doivent avoir un permis de travail valide, souvent à la charge de l’employeur. Les protections légales incluent un préavis de résiliation et un droit au chômage, bien que ces droits puissent varier ; par exemple, les expatriés ont généralement moins de protection contre le licenciement abusif. Les employeurs doivent garantir le respect des temps de travail légaux et des conditions de sécurité. Sur le plan fiscal, les expatriés doivent naviguer entre les conventions fiscales internationales et la législation locale pour éviter la double imposition. Un exemple concret montre qu’un expatrié licencié à mi-contrat a réussi à obtenir une indemnité grâce à la médiation avec son employeur, soutenue par une association locale spécialisée en droit du travail. En cas de litige, consulter des cabinets juridiques spécialisés en droit du travail international, ou des organisations comme l’Ombudsman turc, peut être très utile pour comprendre ses droits et obligations.

Comprendre le salaire minimum et les rémunérations en Turquie

Le salaire minimum brut mensuel en Turquie s’élève à 26 005,50 TRY à compter du 1er janvier 2025, soit un salaire net de 22 104,67 TRY. Cette hausse représente une augmentation d’environ 30 % par rapport à l’année précédente, où il était fixé à 20 002,50 TRY brut en 2024 et à 17 002 TRY en 2023.

AnnéeSalaire minimum brut mensuel (TRY)Salaire minimum net mensuel (TRY)Augmentation annuelle (%)
202317 002+49
202420 002,50+18
202526 005,5022 104,67+30

Détermination et ajustement du salaire minimum :

  • Le salaire minimum est fixé par la Commission de détermination du salaire minimum, composée de représentants du gouvernement, des employeurs et des salariés.
  • Il est généralement révisé chaque année, souvent en réponse à l’inflation et à la conjoncture économique nationale.
  • Les décisions sont prises à l’issue de plusieurs réunions, mais peuvent faire l’objet de contestations syndicales.

Différences sectorielles et régionales :

  • Le salaire minimum légal s’applique uniformément sur l’ensemble du territoire turc et à tous les secteurs d’activité, sans distinction sectorielle ou régionale.
  • Toutefois, dans la pratique, le coût de la vie varie fortement entre Istanbul, Ankara, Izmir et les régions rurales, ce qui impacte le pouvoir d’achat des salariés mais pas le montant légal du salaire minimum.
  • Certains secteurs négocient des conventions collectives offrant des salaires supérieurs au minimum légal, notamment dans l’industrie et le secteur financier.

Types de contrats et heures de travail standards :

  • Le contrat de travail turc peut être à durée déterminée ou indéterminée, à temps plein ou partiel.
  • La durée légale du travail est de 45 heures par semaine, réparties sur un maximum de 6 jours.
  • Les heures supplémentaires sont rémunérées avec une majoration légale.

Obligations légales des employeurs :

  • Tout employeur doit verser au moins le salaire minimum légal à ses salariés, quelle que soit leur nationalité.
  • Les expatriés employés sous contrat local bénéficient des mêmes droits que les travailleurs turcs en matière de salaire minimum.
  • Les employeurs doivent respecter les cotisations sociales et les prélèvements obligatoires sur la paie.

Exceptions et dérogations :

  • Certaines catégories, telles que les apprentis, stagiaires et travailleurs saisonniers, peuvent bénéficier de régimes dérogatoires avec des rémunérations inférieures au minimum légal.
  • Les très petites entreprises ou les associations peuvent, sous conditions strictes, appliquer des modalités particulières.

Protections légales contre la discrimination salariale :

  • La législation turque interdit toute discrimination salariale fondée sur le genre, l’origine, la religion ou toute autre caractéristique personnelle.
  • En cas de litige, les salariés peuvent saisir les juridictions compétentes pour faire valoir leurs droits.

Résumé encadré :

Salaire minimum 2025 en Turquie :

  • Brut mensuel : 26 005,50 TRY
  • Net mensuel : 22 104,67 TRY
  • Revalorisation annuelle selon inflation et décisions de la commission nationale
  • Application uniforme, protections contre les discriminations, exceptions pour apprentis et stagiaires

Bon à savoir :

Le salaire minimum en Turquie, actuellement fixé à 11 402 livres turques (environ 400 USD) par mois depuis juillet 2023, est réévalué semestriellement par la commission nationale, prenant en compte des facteurs économiques comme l’inflation. Historiquement, ce montant a subi plusieurs augmentations significatives ces dernières années en raison des fluctuations économiques et de la dépréciation de la monnaie. Les disparités peuvent exister entre les secteurs industriels et d’un point de vue régional, ce qui influence les rémunérations. Les contrats de travail en Turquie sont souvent signés pour 45 heures hebdomadaires; toutefois, des horaires réduits peuvent s’appliquer, impactant le salaire proportionnellement. Les employeurs turcs ont des obligations strictes de respecter le salaire minimum, y compris envers les expatriés, qui bénéficient des mêmes protections légales contre les discriminations salariales. Exceptions ou dérogations s’appliquent généralement aux start-ups ou PME, notamment concernant les jeunes employés ou apprentis, mais ces cas sont encadrés pour prévenir les abus.

Les congés payés et autres bénéfices pour les expatriés

Congés payés prévus par la législation turque pour les expatriés :

Type de congéDurée minimaleConditions d’éligibilité
Congé annuel payé14 jours (moins de 5 ans)
20 jours (5 à 15 ans)
26 jours (>15 ans)
1 an d’ancienneté chez le même employeur
Congé maladieJusqu’à 1 semaine payé, prolongation possible non rémunérée
Durée variable selon ancienneté pour absence prolongée
Présentation d’un certificat médical
Congé maternitéGénéralement jusqu’à 16 semaines
(8 avant et 8 après l’accouchement)
Salariées enceintes, sous conditions médicales
Congé paternitéEnviron 5 jours payésSalariés masculins lors de la naissance d’un enfant
Jours fériés légauxEntre 12 et 14 jours/an selon le calendrier officiel turc (fêtes nationales et religieuses)Tous salariés, y compris expatriés

Autres absences autorisées :

Congé en cas de décès familial : généralement jusqu’à 3 jours payés.

Prestations supplémentaires pour expatriés :

  • Assurance santé privée (souvent supérieure au régime public)
  • Allocations logement
  • Prise en charge des frais de déplacement ou indemnités de transport
  • Couverture scolaire pour enfants
  • Assistance juridique ou administrative

Comparaison avec les avantages des travailleurs locaux :

AvantageExpatriésTravailleurs locaux
Assurance santéSouvent prise en charge à un niveau supérieur ; accès facilité aux hôpitaux privés.Assurance publique standard ; assurance privée parfois proposée.
LogementAllocation ou logement fourni dans certains cas.Rarement pris en charge par l’employeur.
DéplacementIndemnités spécifiques ou véhicule mis à disposition possible.Prise en charge limitée aux frais professionnels réels.

Les travailleurs locaux bénéficient généralement du même nombre minimum légal de congés annuels, mais les expatriés peuvent obtenir des compléments négociables dans leur contrat.

Conditions d’éligibilité et procédures :

Pour bénéficier du congé annuel, il faut justifier au moins une année complète chez le même employeur.

Les demandes se font par écrit auprès du service RH, souvent plusieurs semaines avant la période souhaitée.

Le salarié doit fournir un justificatif médical pour tout congé maladie, qui ne peut excéder la durée prévue par le Code du travail.

Les prestations supplémentaires sont définies dans le contrat individuel ou collectif ; elles requièrent parfois une démarche administrative spécifique lors de l’arrivée dans le pays (exemple : ouverture d’une assurance santé).

Liste des étapes classiques :

  • Vérifier son ancienneté et droits acquis
  • Informer l’employeur officiellement
  • Fournir documents justificatifs si nécessaire
  • Respecter les délais internes fixées par l’entreprise

En Turquie, tant les travailleurs locaux que les expatriés bénéficient d’une protection forte concernant leurs droits aux congés légaux ainsi qu’à certaines prestations sociales essentielles.

Bon à savoir :

En Turquie, les expatriés bénéficient de congés annuels payés similaires aux travailleurs locaux, généralement 14 jours ouvrables après un an d’ancienneté, augmentant avec l’expérience. Les congés de maternité s’étendent à 16 semaines, tandis que les congés de paternité sont de cinq jours. Les expatriés ont droit aux 14 jours fériés nationaux turcs. En plus des congés payés, les expatriés peuvent recevoir des avantages supplémentaires tels que l’assurance santé privée et des allocations de logement ou de déplacement, souvent plus généreuses que celles des travailleurs locaux pour attirer et retenir les talents internationaux. Pour bénéficier des congés et prestations, les expatriés doivent vérifier les conditions spécifiques de leur contrat de travail et celles dictées par la législation turque, en s’assurant de respecter les procédures administratives et de notification requises.

Protection sociale et obligations légales en Turquie

Principales composantes de la protection sociale en Turquie :

  • Assurance maladie : Prise en charge des soins médicaux, hospitalisation et médicaments, accessible via le Sosyal Güvenlik Kurumu (SGK). Depuis 2012, l’assurance maladie universelle s’applique également aux étrangers résidant depuis plus d’un an, à condition qu’ils ne soient pas déjà couverts par leur pays d’origine.
  • Assurance chômage : Indemnités financières en cas de perte d’emploi pour les salariés ayant cotisé au régime.
  • Prestations de retraite : Pension versée aux travailleurs (y compris expatriés) ayant cotisé suffisamment longtemps.
  • Accidents du travail et maladies professionnelles : Compensation et prise en charge pour les victimes d’accidents professionnels ou de maladies liées au travail.

Tableau synthétique des principales protections

ProtectionBénéficiairesConditions d’accèsSpécificité expatriés
Assurance maladieSalariés, expatriésRésidence, cotisation, 1 an de séjour pour étrangersCouverture possible via SGK, exemption si accord bilatéral
Assurance chômageSalariés cotisantsPerte d’emploi involontaireMême règles que pour nationaux
RetraiteTravailleurs cotisantsNombre d’années de cotisationDroits acquis similaires
Accidents/maladiesTous salariésAccident ou maladie professionnelleIdem nationaux, via SGK

Obligations légales des employeurs concernant la sécurité sociale des expatriés :

  • Affiliation obligatoire à la SGK pour tous les salariés, y compris les travailleurs étrangers employés localement.
  • Cotisations : L’employeur doit prélever et verser les cotisations sociales (environ 21,5% du salaire brut), l’employé cotise également (environ 15%).
  • Vérification du statut : Si un expatrié est déjà affilié à la sécurité sociale de son pays d’origine et qu’un accord bilatéral existe avec la Turquie, il peut être exempté de cotisations locales.

Liste des obligations pour les employeurs :

  • Déclarer l’embauche de l’expatrié auprès du SGK.
  • Verser les cotisations sociales dans les délais impartis.
  • S’assurer que l’expatrié dispose d’une assurance maladie valide (publique ou privée selon le statut).
  • Respecter les conditions spécifiques des accords bilatéraux, le cas échéant.

Conditions d’éligibilité des travailleurs étrangers :

  • Expatriés titulaires d’un contrat local et résidant en Turquie bénéficient du même accès au SGK que les nationaux.
  • Exemption possible si l’expatrié reste affilié à la sécurité sociale de son pays d’origine dans le cadre d’une convention bilatérale.
  • Pour bénéficier de l’assurance maladie universelle, il faut résider en Turquie depuis au moins un an et ne pas être déjà couvert par le pays d’origine.

Spécificités pour les expatriés :

  • Certains expatriés doivent souscrire une assurance santé privée pour obtenir un visa de travail.
  • Les retraités expatriés doivent justifier annuellement de leur situation auprès de leur organisme de retraite.
  • Les prestations familiales sont limitées, sauf pour les fonctionnaires.

Rôle des organismes gouvernementaux :

  • SGK (Sosyal Güvenlik Kurumu) : Gestion, mise en œuvre et contrôle du respect des obligations sociales, recouvrement des cotisations, gestion des droits et prestations.
  • Ministère du Travail et de la Sécurité sociale : Supervision générale, pilotage des réformes et de la conformité réglementaire.
  • Sanctions en cas de non-respect : Amendes administratives, redressements de cotisations, voire suspension du droit d’employer des étrangers en cas de manquements graves.

Exemples récents d’initiatives ou réformes :

  • Extension de l’assurance maladie universelle aux étrangers depuis 2012, avec obligation d’adhésion pour les résidents de plus d’un an non couverts par leur pays d’origine.
  • Modernisation du SGK et amélioration de l’accès aux soins publics, notamment pour les expatriés, dans le cadre de la réforme du secteur de la santé.
  • Numérisation des démarches administratives pour l’affiliation et le suivi des droits sociaux, facilitant l’intégration des expatriés au système turc.

Points clés à retenir :

  • L’affiliation à la sécurité sociale turque (SGK) est en principe obligatoire pour tous les salariés, y compris les expatriés employés localement.
  • Des exemptions existent en cas d’accord bilatéral avec le pays d’origine.
  • Les employeurs sont responsables de la déclaration et du versement des cotisations.
  • En cas de non-respect, des sanctions financières et administratives peuvent s’appliquer.

Bon à savoir :

En Turquie, la protection sociale inclut une assurance maladie universelle, une assurance chômage et des prestations de retraite, gérées par l’Institution de la Sécurité Sociale (SGK). Les employeurs doivent enregistrer leurs employés expatriés auprès de la SGK et verser les cotisations sociales correspondantes. Les travailleurs étrangers peuvent bénéficier de ces protections dès l’obtention d’un permis de travail et du respect des exigences de résidence légale, bien que les conditions d’accès puissent différer pour des prestations spécifiques, notamment en cas de chômage. Les employeurs doivent également s’assurer que les contributions sont conformes aux taux en vigueur pour éviter des pénalités. Des réformes récentes, comme l’extension des soins de santé inclusifs aux expatriés, soulignent l’importance croissante de ces protections, tandis que des inspections régulières vérifient le respect des obligations légales. En cas de non-respect, les entreprises s’exposent à des amendes sévères, soulignant l’importance de la conformité pour éviter des litiges ou des interruptions d’activité.

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A propos de l'auteur
Cyril Jarnias

Cyril Jarnias est un expert indépendant en gestion de patrimoine internationale avec plus de 20 ans d'expérience. Expatrié, il se consacre à aider les particuliers et les chefs d'entreprise à construire, protéger et transmettre leur patrimoine en toute sérénité.

Sur son site cyriljarnias.com, il développe son expertise sur l’immobilier international, la création de société à l’étranger et l’expatriation.

Grâce à son expertise, il offre des conseils avisés pour optimiser la gestion patrimoniale de ses clients. Cyril Jarnias est également reconnu pour ses interventions dans de nombreux médias prestigieux tels que BFM Business, les Français de l’étranger, Le Figaro, Les Echos ou encore Mieux vivre votre argent, où il partage ses connaissances et son savoir-faire en matière de gestion de patrimoine.

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