Procédure de Succession Immobilière en Hongrie

Publié le et rédigé par Cyril Jarnias

Naviguer dans la succession immobilière en Hongrie

Naviguer dans le monde complexe de la succession immobilière en Hongrie peut sembler une tâche ardue, mais une compréhension claire de la procédure complète peut transformer ce processus souvent intimidant en une opération fluide et gérable.

Entre le respect des réglementations juridiques spécifiques du pays et la gestion des implications fiscales, chaque étape nécessite une attention particulière pour garantir un transfert de propriété sans heurts.

De la déclaration des actifs aux autorités compétentes à la distribution équitable entre les héritiers, cet article démystifie chaque facette cruciale de ce parcours délicat, offrant des conseils pratiques et des explications détaillées pour guider les lecteurs à travers les méandres souvent déroutants de la succession immobilière en Hongrie.

Sommaire de l'article masquer

Les étapes clés de la succession immobilière en Hongrie

Processus légal d’ouverture de la succession

En Hongrie, l’ouverture de la succession immobilière débute automatiquement au décès du propriétaire. La mairie du dernier domicile du défunt est informée et engage d’office la procédure successorale afin d’intégrer tous les ayants droit et parties intéressées dans une seule démarche formelle.

Rôle du notaire et certificat d’héritier

Après réception de l’inventaire successoral préparé par le chargé d’inventaire (agent administratif désigné par la mairie), le dossier est transmis au notaire public compétent. Le notaire organise une audience successorale où il examine les droits des héritiers, les volontés testamentaires éventuelles, puis délivre un certificat officiel reconnaissant les héritiers légaux ou testamentaires. Ce document est indispensable pour toute démarche ultérieure relative aux biens immobiliers.

Inventaire des biens et valorisation de l’héritage

  • L’inventaire inclut :
    • Liste exhaustive des biens immobiliers (adresses, parcelles)
    • Valeur estimée selon registre cadastral ou expertise
    • Liste des actifs mobiliers (comptes bancaires, véhicules)
    • Dettes éventuelles associées à la succession
  • Valorisation : généralement réalisée sur base administrative ; en cas de litige entre héritiers sur une estimation, un expert peut être mandaté.
ÉtapeActeur principalDélai moyenDocuments générés
Signalement décèsMairieImmédiatActe de décès
InventaireChargé d’inventaire2 à 6 semainesInventaire successoral
Audience notarialeNotaire publicSous deux moisCertificat d’héritier
Transmission titreNotariat / CadastreJusqu’à six moisAttestation propriété

Démarches administratives requises

  • Transfert de propriété :
    • Dépôt du certificat auprès du bureau foncier/cadastre.
    • Mise à jour officielle dans le registre immobilier.
    • Paiement des frais administratifs liés au transfert.
  • Formalités fiscales :
    • Déclaration auprès des autorités fiscales locales.
    • Paiement éventuel des droits successoraux ou taxes sur plus-value si revente rapide post-succession.

Exemple pratique :
Un appartement situé à Budapest fait partie de la succession. Après établissement de l’inventaire par le chargé municipal et transmission au notariat local, une audience réunit les trois enfants majeurs désignés comme héritiers légaux. Le notariat délivre leur certificat après vérification qu’aucun testament contraire n’existe. Les enfants déposent ce certificat auprès du cadastre qui met à jour le titre foncier sous leurs noms – délai total: environ quatre mois hors litige.

Délais prévus pour chaque étape

  • Signalement et inventoriage : quelques jours à six semaines
  • Procédure notariale : habituellement finalisée sous deux-trois mois
  • Transfert cadastral/fiscalité : jusqu’à six mois

Droits et obligations des héritiers

  • Droit :
    • Accepter ou refuser l’héritage
    • Demander partage équitable en cas pluralité d’ayants droit
  • Obligation :
    • Répondre solidairement aux dettes liées aux biens reçus dans la limite patrimoniale transmise

Cas particulier étranger :
Si un bien hongrois appartient à un défunt français résidant en France mais sans procédure engagée en France avant ouverture en Hongrie, c’est généralement le droit hongrois qui s’applique pour ce bien précis ; compétence exclusive locale sauf convention internationale contraire.

Liste synthétique — étapes clés

  • Ouverture automatique suite au décès
  • Inventoriage exhaustif par administration municipale
  • Transmission dossier complet chez le notariat compétent
  • Audience successorale avec identification formelle des ayants droit
  • Émission officielle du certificat d’héritier
  • Transfert légal chez cadastre/registre immobilier
  • Déclaration fiscale obligatoire

Toutes ces étapes sont encadrées légalement afin que chaque partie puisse exercer ses droits tout en respectant ses obligations vis-à-vis tant de l’État que potentiellement vis-à-vis créanciers successeurs attachés aux biens transmis.

Bon à savoir :

En Hongrie, la succession immobilière débute par l’ouverture légale de la succession où un notaire est désigné pour superviser le transfert des biens. Ce dernier délivre un certificat d’héritier essentiel pour prouver la légitimité des héritiers dans la procédure. Un inventaire précis et une valorisation officielle de l’héritage doivent être réalisés pour identifier l’ensemble des biens du défunt. Les héritiers doivent ensuite s’acquitter des formalités administratives telles que le transfert de propriété devant les autorités cadastrales et s’assurer du respect des obligations fiscales, incluant les taxes de succession, qui peuvent varier en fonction de la valeur du bien et du lien de parenté. La procédure peut s’étendre sur plusieurs mois, voire plus d’un an, selon la complexité du patrimoine et les éventuels litiges entre héritiers. Il est crucial que les héritiers comprennent bien leurs droits, tels que le refus éventuel de l’héritage pour éviter les dettes, et leurs obligations, comme le règlement des droits de succession si applicable. Un exemple pratique illustrerait une famille ayant accéléré le processus en préparant en amont les documents nécessaires et consultant un expert fiscal pour optimiser leur situation, démontrant l’importance de l’anticipation dans cette procédure complexe.

Comprendre les droits de succession pour les étrangers en Hongrie

Le cadre juridique des droits de succession pour les étrangers possédant des biens immobiliers en Hongrie repose sur une combinaison de législation nationale hongroise, du droit international privé et du règlement européen n° 650/2012 relatif aux successions transfrontalières.

Principes généraux applicables :

  • La loi applicable à la succession est, par défaut, celle de l’État dans lequel le défunt avait sa résidence habituelle au moment du décès.
  • Il est possible d’opter pour la loi de sa nationalité via un testament (Professio Juris).
  • Le notaire public hongrois peut être compétent dès lors que le bien immobilier se trouve en Hongrie ou si le défunt était citoyen hongrois au moment du décès.
  • Le principe d’unité successorale s’applique : l’ensemble des biens situés en Hongrie relèvent alors de la même procédure, sauf stipulation contraire d’un accord bilatéral.
SituationLoi applicableAutorité compétente
Résident étranger avec bien en HongrieLoi du pays de dernière résidence habituelle ou loi nationale (si professio juris)Notaire hongrois pour les biens situés en Hongrie
Non-résident étranger avec bien uniquement en HongrieSouvent loi étrangère mais procédure menée par notaire hongroisNotaire hongrois

Différences entre résidents et non-résidents :

  • Les non-résidents peuvent voir leur succession soumise à la loi étrangère si elle a été désignée ; sinon c’est généralement la loi du dernier lieu de résidence qui prévaut.
  • Pour un résident fiscal étranger : seuls les biens immobiliers situés sur le territoire hongrois sont soumis à imposition locale.

Accords bilatéraux et conventions internationales :

Des accords internationaux peuvent moduler ces principes ; ils peuvent notamment prévoir une compétence exclusive ou partagée. En cas de litige sur l’autorité compétente (Hongrie vs pays tiers), un accord pourra déterminer quelle juridiction prime.

Fiscalité successorale :

En Hongrie :

  • Taux d’imposition standard : 18 % sur les immeubles bâtis/habitations et terrains attenants ; 9 % pour autres immeubles.
  • Exemptions fréquentes
    • Héritiers directs (enfants, conjoints) sont généralement exonérés des droits de succession sur les biens immobiliers.
    • Autres héritiers paient selon leur degré de parenté et la nature du bien reçu.
  • La fiscalité varie selon qu’il existe une convention fiscale entre la Hongrie et le pays d’origine visant à éviter la double imposition.
Type d’héritierTaux appliquéExemptions possibles
Descendants directsGénéralement 0%Oui
ConjointsGénéralement 0%Oui
Autres héritiersJusqu’à 18%Selon degré & conventions

Étapes administratives spécifiques pour héritiers étrangers :

  1. Déclaration auprès d’un notaire public local qui ouvre officiellement la procédure successorale.
  2. Notification obligatoire aux autorités consulaires étrangères si le défunt était citoyen non-hongrois.
  3. Présentation des documents prouvant l’identité, lien familial/héritage (certificat successoral ou testament), traduction certifiée requise pour tout document étranger.
  4. Attente éventuelle des résultats liés à l’application d’une loi étrangère choisie via professio juris avant liquidation/distribution effective des actifs.
  5. Paiement éventuel des droits fiscaux dus auprès du fisc hongrois avant transfert effectif du titre immobilier.

Services spécialisés disponibles :

Les cabinets juridiques bilingues spécialisés accompagnent fréquemment :

  • Traduction assermentée
  • Coordination avec notaires locaux
  • Représentation devant administrations fiscales
  • Conseil personnalisé selon conventions internationales

Exemples courants :

Un ressortissant français possédant un appartement à Budapest décède alors qu’il résidait toujours en France.
Sa famille peut choisir que sa succession soit régie par le droit français grâce au testament (professio juris). Le notaire public local gérera cependant toute question liée au transfert formellement enregistré dans les cadastres locaux après vérification fiscale.

Un expatrié allemand ayant vécu plusieurs années en Hongrie y laisse une maison.
La procédure sera instruite devant un notariat local selon son statut résidentiel final ; ses enfants hériteront sans frais si ce sont ses descendants directs – même s’ils vivent hors UE – mais devront fournir toutes preuves traduites justifiant leur statut légal vis-à-vis tant que citoyen allemand qu’en qualité d’héritier légal reconnu par droit civil allemand appliqué via professio juris.

Bon à savoir :

En Hongrie, les droits de succession pour les étrangers varient selon leur statut de résidence et les accords bilatéraux en place. Les résidents étrangers bénéficient des mêmes taux de droits de succession que les nationaux, souvent réduits ou exonérés pour les héritiers directs, tandis que les non-résidents peuvent être soumis à des taux plus élevés. Les accords entre la Hongrie et d’autres pays, tels que ceux de l’UE, peuvent influencer ces droits en évitant la double imposition. Les héritiers étrangers doivent suivre des étapes administratives rigoureuses, comprenant la déclaration de succession auprès de l’administration fiscale hongroise et la certification successorale via un notaire local. Il est conseillé de consulter des services légaux spécialisés qui offrent une assistance précieuse, notamment dans les cas complexes où plusieurs juridictions sont impliquées. Par exemple, un résident américain héritant d’une maison en Hongrie pourrait bénéficier de l’accord fiscal entre les deux pays, allégeant la charge sur ses biens, contrairement à un résident d’un pays sans accord bilatéral avantageux.

Les démarches peuvent s’avérer complexes dès lors qu’il y a pluralité législative impliquée — il est donc fortement recommandé aux étrangers propriétaires immobiliers ou leurs héritiers potentiels, dès maintenant ou lors d’une ouverture successorale future, de consulter sans délai un cabinet juridique spécialisé dans les dossiers transfrontaliers !

Le rôle du notaire dans une succession internationale en Hongrie

Le notaire hongrois joue un rôle central et incontournable dans le règlement des successions internationales, agissant à la fois comme garant de la légalité et comme médiateur entre héritiers aux profils variés. Sa mission débute par une collaboration étroite avec les héritiers et représentants légaux pour identifier, inventorier et évaluer l’ensemble des biens du défunt, y compris ceux situés à l’étranger. Le notaire interroge notamment les registres nationaux (testaments, contrats de succession) afin d’assurer le respect des volontés du testateur.

Liste des principales tâches du notaire lors d’une succession internationale en Hongrie :

  • Identification complète des biens successoraux (meubles, immeubles en Hongrie et à l’étranger).
  • Consultation obligatoire du registre national des testaments.
  • Notification aux autorités étrangères concernées lorsque le défunt possédait une autre nationalité ou détenait des biens hors de Hongrie.
  • Évaluation juridique de la loi applicable selon le domicile ou la résidence habituelle du défunt.
  • Coordination avec les juridictions étrangères pour vérifier l’existence éventuelle de procédures parallèles.

Compétences juridiques exigées :

  • Maîtrise approfondie du droit international privé hongrois.
  • Connaissance pointue de la législation européenne sur les successions, notamment le Règlement européen (UE) n°650/2012 qui harmonise certains aspects transfrontaliers au sein de l’Union Européenne.
  • Capacité à interpréter les conventions bilatérales (ex : Convention franco-hongroise dispensant légalisation).

Tableau récapitulatif : Coordination inter-juridictionnelle

SituationAction du NotaireDroit applicable
Biens uniquement en HongrieProcédure localeDroit hongrois
Biens dans plusieurs pays UEContact avec autorités étrangères ; harmonisationRèglement UE n°650/2012 + lois locales
Procédures engagées à l’étrangerSuspension ou adaptation procédure hongroiseSelon accords internationaux

Dans ce contexte complexe, le notaire assure également la validation rigoureuse des documents étrangers. Il vérifie leur conformité formelle selon différents critères : loi nationale hongroise, loi interne où a été rédigé le document, loi nationale ou domiciliaire du testateur — tout en tenant compte d’accords internationaux qui peuvent dispenser certaines formalités administratives.

En cas de conflits potentiels entre héritiers issus de différentes juridictions :

Le rôle médiateur du notaire est mis en avant :

  • Facilitation d’un dialogue équitable entre parties internationales
  • Explication transparente des droits applicables
  • Proposition d’alternatives amiables avant recours judiciaire

La responsabilité finale incombe au notaire quant à la répartition équitable des biens : il doit respecter strictement tant la législation nationale que les dispositions européennes/bilatérales pertinentes afin d’éviter toute discrimination ou violation juridique. En cas de litige grave non résolu par médiation notariale, c’est alors au juge compétent que revient le traitement contentieux.

Les compétences requises s’étendent donc bien au-delà du droit local : elles incluent savoir-faire interculturel, maîtrise technique européenne et capacité organisationnelle pour garantir un règlement conforme aux exigences transnationales complexes.

Bon à savoir :

En Hongrie, le notaire joue un rôle essentiel dans les successions internationales, se positionnant en tant qu’expert de la législation européenne des successions. Il collabore avec les héritiers et représentants légaux pour inventorier tous les biens du défunt, y compris ceux situés à l’étranger, et dispose de connaissances approfondies en droit international, ce qui est crucial face aux biens disséminés dans différents pays de l’UE. Le notaire assure la coordination avec les autres juridictions européennes pour harmoniser les démarches et veiller à ce que les lois appropriées soient respectées. Il traite également la validation de documents légaux étrangers, résolvant les possibles conflits de lois et servant de médiateur en cas de litiges internationaux entre héritiers. Sa responsabilité inclut de garantir une distribution équitable des biens, en appliquant la législation hongroise et en tenant compte des traités bilatéraux si nécessaire, apportant ainsi une sécurité juridique indéfectible aux parties impliquées.

Conseils pour anticiper la transmission immobilière transfrontalière

Pour anticiper la transmission immobilière transfrontalière dans le cadre d’une succession en Hongrie, il est essentiel de comprendre les spécificités du cadre légal local, les implications fiscales et les mécanismes pour optimiser la gestion successorale.

Lois et réglementations hongroises sur la succession immobilière

  • Le Code civil hongrois encadre la transmission des biens et définit précisément les droits des héritiers.
  • La Hongrie applique le principe de succession ipso iure, où l’héritier reçoit automatiquement le bien au moment du décès.
  • Le conjoint survivant obtient généralement un usufruit viager sur le logement commun et une « part enfant » équivalente à celle des descendants légaux.
  • Les concubins non enregistrés ne bénéficient pas automatiquement de droits successoraux ; seuls les partenaires mariés ou enregistrés sont protégés par la loi.

Implications fiscales et double imposition

En règle générale, les enfants (et proches en ligne directe) sont exonérés de droits de succession sur l’immobilier résidentiel hongrois.

Pour d’autres héritiers, un taux d’imposition standard peut s’appliquer (par exemple 18 % pour certains biens).

Héritier Droits de succession
Enfants/descendants Exonérés
Conjoint Usufruit + part enfant
Héritiers hors ligne directe Taux standard (ex. 18%)

Les questions fiscales relèvent exclusivement du droit national hongrois ; elles ne sont pas couvertes par le règlement européen sur les successions. Ainsi, il faut prendre en compte :

  • La législation locale
  • D’éventuels traités bilatéraux visant à éviter la double imposition
  • La possibilité que certains revenus fonciers issus de l’héritage soient imposables dans plusieurs pays

Traités bilatéraux influençant la procédure

Certains accords internationaux entre la Hongrie et d’autres États peuvent déterminer quelle juridiction est compétente pour traiter une partie ou toute la succession immobilière. Cela peut affecter :

  • L’application des règles successorales étrangères si stipulé par traité
  • La reconnaissance mutuelle des décisions successorales

Recommandations essentielles

Liste pratique :

  • Consulter systématiquement un expert juridique local spécialisé en successions internationales, afin :
    • De clarifier quelle loi nationale s’applique selon votre situation familiale
    • D’anticiper tout risque lié à une compétence exclusive/unitaire du notaire public hongrois
  • Faire appel à un conseiller fiscal international, qui pourra :
    • Évaluer l’impact potentiel d’une double imposition
    • Proposer une structure adaptée pour limiter ces effets

Structures facilitant la transmission transfrontalière

Différents montages permettent d’optimiser ou sécuriser cette transmission :

Liste structurée :

  • Société civile immobilière locale ou internationale (pour regrouper plusieurs héritiers)
  • Trusts étrangers reconnus dans certains cas
  • Convention matrimoniale adaptée aux successions internationales

Chacune présente ses avantages pour limiter les litiges potentiels entre héritiers.

Stratégies préventives contre le risque de litige

Liste ciblée :

  • Rédiger un testament conforme au droit hongrois mais aussi reconnu dans votre pays d’origine
  • Privilégier l’enregistrement officiel auprès du registre foncier électronique
  • Anticiper toute contestation via clauses spécifiques (par exemple clause pénale antérieurement négociée)

La planification proactive reste indispensable afin :

  • De réduire les coûts fiscaux inattendus,
  • D’assurer une répartition transparente,
  • De simplifier toutes démarches administratives pour vos héritiers.

Bon à savoir :

Lors de la transmission immobilière transfrontalière en Hongrie, il est crucial de connaître les lois locales, qui imposent des règles strictes pour la succession et la transmission de biens aux non-résidents, souvent influencées par des traités bilatéraux pouvant modifier les effets fiscaux. Un conseil avisé est de consulter des experts juridiques et fiscaux spécialisés dans les biens transfrontaliers pour naviguer dans la complexité des implications fiscales, y compris la double imposition. Les structures de propriété comme les sociétés holding peuvent faciliter ce processus, et des stratégies telles que la clarification des droits de propriété et l’élaboration d’un testament international aident à minimiser les risques de litige. Une planification successorale proactive est essentielle pour anticiper les coûts potentiels, simplifiant ainsi le processus de succession pour les héritiers et garantissant une transition plus harmonieuse.

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A propos de l'auteur
Cyril Jarnias

Cyril Jarnias est un expert indépendant en gestion de patrimoine internationale avec plus de 20 ans d'expérience. Expatrié, il se consacre à aider les particuliers et les chefs d'entreprise à construire, protéger et transmettre leur patrimoine en toute sérénité.

Sur son site cyriljarnias.com, il développe son expertise sur l’immobilier international, la création de société à l’étranger et l’expatriation.

Grâce à son expertise, il offre des conseils avisés pour optimiser la gestion patrimoniale de ses clients. Cyril Jarnias est également reconnu pour ses interventions dans de nombreux médias prestigieux tels que BFM Business, les Français de l’étranger, Le Figaro, Les Echos ou encore Mieux vivre votre argent, où il partage ses connaissances et son savoir-faire en matière de gestion de patrimoine.

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