Conventions fiscales RD – Pays d’origine : Droit international

Publié le et rédigé par Cyril Jarnias

Dans un contexte globalisé où les transactions financières transcendent les frontières, le droit fiscal international joue un rôle crucial pour éviter la double imposition et promouvoir les échanges économiques.

L’étude des conventions fiscales entre la République dominicaine et divers pays d’origine s’avère essentielle pour comprendre comment ces accords bilatéraux facilitent l’investissement étranger tout en protégeant les intérêts fiscaux nationaux.

En examinant de près les clauses spécifiques et les objectifs stratégiques de ces accords, cet article met en lumière l’importance de tels traités pour soutenir une croissance économique mutuellement bénéfique tout en s’assurant que les règles fiscales soient justes et équilibrées pour toutes les parties impliquées.

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Droit fiscal international : un aperçu des conventions entre la République dominicaine et les pays d’origine

Les conventions fiscales internationales signées par la République dominicaine visent principalement à éliminer la double imposition, prévenir l’évasion fiscale et encourager les échanges économiques entre États. Ces accords constituent un levier important pour sécuriser les investissements étrangers et offrir une sécurité juridique accrue aux entreprises et particuliers opérant à l’international.

Pays partenaires principaux

  • Canada
  • Espagne
  • France
  • Royaume-Uni
  • États-Unis (accord limité)

Objectifs majeurs des conventions fiscales

  • Élimination de la double imposition : Permet d’éviter qu’un même revenu ne soit taxé deux fois dans deux pays différents.
  • Prévention de l’évasion fiscale : Instaure des mécanismes d’échange d’informations pour lutter contre la fraude fiscale.
  • Promotion des échanges économiques et investissements transnationaux : Favorise un climat propice aux affaires en réduisant les incertitudes fiscales.
PaysAnnée de signatureType de conventionParticularités notables
Canada1977Double impositionInclut impôts sur le revenu et fortune
Espagne2014Double impositionApplication large
FranceDouble impositionCrédit d’impôt sur impôt local
Royaume-UniAccord fiscalTaux réduits retenue à la source
États-UnisAccord limitéPas de convention pleine

Clauses spécifiques courantes dans ces conventions

  • Définition du champ d’application (personnes concernées, types de revenus)
  • Répartition des droits d’imposition entre les États contractants
    • Généralement, seuls certains revenus sont imposés dans l’État où ils sont générés ; le reste est imposable selon résidence ou source.
    • Taux réduits ou exemptions sur dividendes, intérêts, redevances
    • Mécanisme du crédit d’impôt pour éviter une charge fiscale excessive

Exemple concret :

Une société française ayant une filiale en République dominicaine peut bénéficier grâce à la convention franco-dominicaine :

– D’un crédit d’impôt correspondant aux impôts payés localement en RD. Ainsi, elle n’est pas imposée deux fois lors du rapatriement des bénéfices vers la France.

Un particulier canadien résidant partiellement en RD pourra se prévaloir du traité bilatéral pour déterminer quel pays a le droit principal de taxation selon sa résidence effective.

Impact direct sur entreprises et particuliers :

  • Réduction immédiate du coût fiscal lors du versement transfrontalier de dividendes ou redevances
  • Sécurisation juridique face au risque fiscal international grâce à un cadre clair et prédéfini

Évolution historique & réformes récentes :

La République dominicaine a longtemps appliqué un système territorial strict où seuls les revenus générés localement étaient imposables. Toutefois, depuis plusieurs années :

  • Le pays s’est aligné sur les standards internationaux via :
    • Mise en œuvre progressive de l’échange automatique d’informations fiscales, notamment avec le CRS (Common Reporting Standard) OCDE depuis 2020 ;
    • Adaptation régulière au Modèle OCDE afin que ses conventions restent efficaces contre la planification abusive ;
  • Les récents traités élargissent leur portée pour couvrir davantage de flux financiers internationaux tout en renforçant transparence et coopération administrative.

En synthèse :

Les conventions fiscales signées par la République dominicaine apportent stabilité juridique aux investisseurs étrangers tout en limitant efficacement les risques liés à la double imposition ou à l’arbitrage fiscal abusif. Elles jouent ainsi un rôle fondamental dans le développement économique international du pays.

Bon à savoir :

Les conventions fiscales entre la République dominicaine et des pays comme les États-Unis et l’Espagne visent principalement à supprimer la double imposition et à combattre l’évasion fiscale, tout en favorisant les investissements étrangers en offrant des mécanismes de règlement des différends. Un exemple concret est l’accord avec le Canada, qui permet une meilleure prévisibilité des obligations fiscales pour les entreprises transnationales, stimulant ainsi les échanges économiques.

Comprendre la double imposition : mécanismes et enjeux pour les expatriés

La double imposition survient lorsqu’un expatrié est imposé deux fois sur un même revenu, généralement dans le pays d’origine et dans le pays d’accueil. Cette situation touche fréquemment les expatriés qui travaillent à l’étranger ou perçoivent des revenus internationaux.

Principaux mécanismes de double imposition :

  • Imposition du même revenu par le pays de résidence fiscale (souvent le pays d’origine) et par le pays de la source du revenu (pays d’expatriation).
  • Imposition sur les revenus mondiaux par certains pays, y compris les revenus générés à l’étranger.
  • Imposition sur des revenus de placements, dividendes, intérêts, ou loyers perçus à l’international.

Exemple courant :

Un résident fiscal français travaillant en République dominicaine peut être imposé sur son salaire à la fois par la France (s’il y conserve sa résidence fiscale) et par la République dominicaine (source du revenu).


Rôle des conventions fiscales internationales :

Les conventions fiscales bilatérales visent à éviter la double imposition et à définir les droits d’imposition de chaque pays sur les différents types de revenus. Elles sont essentielles pour les expatriés, car elles permettent de :

  • Déterminer le pays de résidence fiscale.
  • Répartir les droits d’imposition selon la nature des revenus (salaires, dividendes, intérêts, loyers, etc.).
  • Éviter la double imposition par des mécanismes précis.
MécanismePrincipeExemple
ExonérationLe pays de résidence exonère les revenus déjà imposés dans le pays de source.Un expatrié français imposé en République dominicaine n’est pas imposé en France sur ces mêmes revenus.
Crédit d’impôtLe pays de résidence accorde un crédit d’impôt équivalent à l’impôt payé à l’étranger.Si l’impôt dominicain payé est de 20%, la France accorde un crédit d’impôt du même montant sur l’impôt français dû.
RépartitionLes conventions attribuent parfois l’imposition exclusive à un seul pays pour certains revenus.Les pensions publiques sont souvent imposées uniquement dans le pays payeur.

Méthodes pour éviter la double imposition :

  • Crédit d’impôt : Déclaration des revenus étrangers dans le pays de résidence, qui accorde un crédit d’impôt égal à l’impôt déjà acquitté à l’étranger.
  • Exonération : Certains revenus sont totalement exonérés d’impôt dans l’un des deux pays.
  • Répartition des droits d’imposition : Les conventions précisent parfois qu’un type de revenu est imposable uniquement dans un pays.

Enjeux fiscaux spécifiques pour les expatriés :

  • Complexité des règles de résidence fiscale, notamment lors d’un changement de pays.
  • Risque d’omission ou de double déclaration de revenus.
  • Nécessité de bien comprendre la convention fiscale entre la République dominicaine et le pays d’origine (certaines conventions peuvent être inexistantes ou moins favorables).
  • Gestion des revenus de source mixte (salaires, dividendes, loyers, etc.).
  • Obligation de déclarer certains revenus dans le pays d’origine, même en cas de non-résidence fiscale.

Impact des conventions fiscales internationales sur la gestion fiscale personnelle :

Elles permettent de limiter la charge fiscale globale et d’éviter une imposition punitive. Elles offrent un cadre juridique sécurisé pour planifier ses revenus et éviter les litiges fiscaux.

Exemple : Un expatrié français en République dominicaine, percevant des dividendes d’une société française, pourra bénéficier d’un crédit d’impôt en France pour l’impôt payé en République dominicaine, réduisant ainsi sa charge fiscale totale.


À retenir :

La bonne compréhension des conventions fiscales et des mécanismes d’évitement de la double imposition est essentielle pour optimiser sa fiscalité en tant qu’expatrié et éviter les risques de double imposition, d’amendes ou de redressements fiscaux.

Bon à savoir :

Les conventions fiscales entre la République dominicaine et le pays d’origine des expatriés, comme la France ou les États-Unis, permettent d’éviter la double imposition grâce à des mécanismes tels que les crédits d’impôt ou les exemptions; cela peut aider à optimiser leur situation fiscale en évitant de payer des impôts dans les deux pays.

Rôle des conventions fiscales dans la gestion des revenus expatriés

Les conventions fiscales sont des accords bilatéraux visant à établir des règles communes pour l’imposition des revenus entre deux États. Leur objectif principal est d’éliminer la double imposition — c’est-à-dire éviter qu’un même revenu soit imposé à la fois dans le pays de résidence et dans le pays de source — et de prévenir l’évasion fiscale.

Principes fondamentaux des conventions fiscales

  • Élimination de la double imposition : Les revenus perçus par un expatrié peuvent être imposés dans un seul État ou, s’ils sont imposés dans les deux, un crédit d’impôt ou une exemption est prévu pour éviter la double taxation.
  • Prévention de l’évasion fiscale : Des mécanismes d’échange d’informations et des clauses anti-abus sont intégrés pour limiter les montages destinés à éluder l’impôt.
  • Détermination de la résidence fiscale : Les conventions définissent des critères précis (domicile, centre des intérêts économiques, durée de séjour) pour déterminer dans quel pays une personne est considérée comme résidente fiscale.

Avantages pour les expatriés

  • Protection contre la double imposition sur les salaires, pensions, dividendes, intérêts ou bénéfices d’entreprise perçus en République dominicaine et dans leur pays d’origine.
  • Sécurité juridique quant au traitement fiscal de leurs revenus.
  • Accès à des régimes préférentiels (exonérations, crédits d’impôt) pour certains types de revenus ou d’investissements.
Type de revenuDroit d’imposer (selon convention)Exemple concret en République dominicaine
SalairesGénéralement imposés dans le pays d’activité, sauf exceptionsUn expatrié travaillant pour une filiale locale paie l’impôt en RD ; son pays d’origine accorde un crédit d’impôt.
PensionsSouvent imposées dans le pays de résidence du bénéficiaireUn retraité français vivant en RD déclare sa pension, en bénéficiant de l’exemption locale pour revenus étrangers.
Bénéfices d’entrepriseImposés dans le pays où l’activité est exercéeUn investisseur qui exploite un hôtel paie l’impôt en RD, mais peut déduire ce montant dans sa déclaration dans son pays d’origine.

Critères de résidence fiscale courants

  • Présence physique de plus de 183 jours par an dans un pays
  • Centre des intérêts économiques ou familiaux
  • Nationalité (critère subsidiaire)

Exemples concrets d’application

Un retraité étranger bénéficiant du régime Loi 171–07 peut importer ses biens personnels sans frais, est exonéré de taxe foncière sur son logement pendant plusieurs années, et ne paie pas d’impôt en RD sur sa pension étrangère.

Un investisseur français ayant une plus-value immobilière imposée localement peut imputer l’impôt payé en République dominicaine sur sa déclaration française, évitant ainsi la double imposition.

Évolutions et négociations récentes

La République dominicaine a signé des conventions fiscales avec plusieurs pays, dont la France, l’Espagne et le Canada, et cherche à en conclure de nouvelles pour renforcer la sécurité fiscale des expatriés.

Des discussions sont en cours pour améliorer ces accords, notamment en matière d’échange automatique d’informations et de clarification des règles de résidence fiscale, afin de renforcer la transparence et la sécurité juridique pour les expatriés.

À retenir :

Les conventions fiscales offrent aux expatriés en République dominicaine une protection efficace contre la double imposition, facilitent la gestion de leurs revenus internationaux et renforcent la sécurité juridique de leur situation fiscale.

Bon à savoir :

Les conventions fiscales entre la République dominicaine et le pays d’origine des expatriés permettent d’éviter la double imposition grâce à la détermination de la résidence fiscale, tandis que les récentes négociations visent à améliorer la clarté sur les critères d’imposition des pensions et bénéfices d’entreprise. Pour gérer efficacement vos revenus en République dominicaine, vérifiez les derniers accords en vigueur relatifs à l’imposition des salaires et assurez-vous de respecter les exigences de résidence fiscale.

Étude des accords spécifiques de double imposition avec la République dominicaine

La double imposition survient lorsqu’un même revenu, gain ou capital est imposé dans deux juridictions fiscales différentes, ce qui peut freiner les échanges économiques et l’investissement entre la République dominicaine et ses partenaires. Sans mécanismes correcteurs, une entreprise ou un particulier risquerait de payer deux fois l’impôt sur le même montant, réduisant la rentabilité des échanges et décourageant la mobilité des capitaux et des personnes.

Objectifs et principes fondamentaux des conventions fiscales bilatérales

Les conventions fiscales bilatérales signées par la République dominicaine visent principalement à :

  • Éviter la double imposition des revenus et des capitaux.
  • Prévenir l’évasion et la fraude fiscales.
  • Favoriser la coopération administrative et l’échange d’informations entre autorités fiscales.
  • Encourager les flux d’investissements et le développement des échanges commerciaux.

Les principes fondamentaux sont :

  • Définition du résident fiscal pour déterminer la juridiction d’imposition.
  • Attribution du droit d’imposer certains types de revenus (dividendes, intérêts, redevances) à l’un ou l’autre État.
  • Crédit d’impôt ou exemption dans l’État de résidence pour l’impôt payé dans l’État source.

Mécanismes de prévention de la double imposition

Les conventions prévoient généralement :

  • Crédit d’impôt : l’État de résidence accorde un crédit égal à l’impôt payé à l’étranger.
  • Exemption : certains revenus peuvent être totalement exonérés dans l’un des deux pays.
  • Taux réduits de retenue à la source sur les dividendes, intérêts et redevances.

Clauses spécifiques des accords selon les partenaires

Pays partenaireChamp d’applicationRevenus couvertsMécanismes spécifiquesDifférences majeures
CanadaImpôt sur le revenu et la fortuneRevenus, gains, fortuneCrédit d’impôt, taux réduits à la sourceLimité aux revenus, pas de TVA
EspagneImpôt sur le revenu, plus-valuesRevenus, plus-valuesCrédit d’impôt, règles anti-abusInclut les plus-values
FranceImpôt sur le revenuRevenus transfrontaliersCrédit d’impôt pour l’impôt payé localementApplication du crédit d’impôt
États-UnisAccord d’échange d’informations (FATCA)Comptes financiersTransmission automatique d’informationsAccord non conventionnel, FATCA

Effet des accords sur les investissements étrangers et relations économiques

  • Stimulation des IDE : La sécurité fiscale offerte par les accords rassure les investisseurs étrangers, qui bénéficient de la prévisibilité des règles et de la limitation de la charge fiscale.
  • Attractivité accrue : Les exonérations et la prévention de la double imposition facilitent la création d’entreprises et l’achat immobilier par des non-résidents.
  • Renforcement des échanges : La transparence et l’échange d’informations fiscales limitent la fraude et augmentent la confiance des partenaires commerciaux.

Exemples concrets d’application et implications pratiques

  • Entreprise française implantée en République dominicaine : Les bénéfices réalisés localement sont imposés en République dominicaine, mais la France accorde un crédit d’impôt équivalent à l’impôt dominicain payé, évitant ainsi une double imposition pour la société.
  • Investisseur canadien percevant des dividendes d’une société dominicaine : Grâce à la convention, la retenue à la source sur les dividendes est réduite et l’investisseur peut imputer l’impôt payé en République dominicaine sur son impôt canadien.
  • Application de FATCA pour les ressortissants américains : Les banques dominicaines doivent déclarer les comptes détenus par des citoyens américains à la DGII, qui transmet ensuite l’information à l’IRS américain.

Bénéfices et défis rencontrés

Bénéfices :

  • Réduction de la charge fiscale globale pour les contribuables internationaux.
  • Sécurité juridique accrue pour les investisseurs.
  • Facilitation de l’investissement et de la mobilité des capitaux.

Défis :

  • Complexité administrative pour prouver l’éligibilité aux avantages conventionnels.
  • Risque de divergences d’interprétation entre les administrations fiscales.
  • Nécessité de se conformer aux obligations déclaratives et de documentation (ex : FATCA, déclarations informatives à la DGII).

Références légales pertinentes

  • Conventions fiscales bilatérales ratifiées (ex. Convention Canada-République dominicaine, 1977 ; Convention Espagne-République dominicaine, 2014).
  • Code général des impôts dominicain.
  • Législation FATCA pour les échanges automatiques d’informations.

Implications pratiques

Pour les contribuables, l’accès aux mécanismes de crédit d’impôt ou d’exemption réduit le risque de double imposition, mais impose le respect strict des formalités déclaratives et la conservation de la documentation appropriée.

Pour l’administration fiscale dominicaine, ces accords nécessitent un renforcement de la coopération internationale, une adaptation des systèmes d’information et un contrôle accru pour prévenir les abus et l’évasion fiscale.

La prévention de la double imposition, par des conventions adaptées, constitue un levier stratégique pour l’attractivité économique et la sécurité juridique des investisseurs en République dominicaine.

Bon à savoir :

La République dominicaine a signé plusieurs accords de double imposition qui prévoient, par exemple, des exonérations ou réductions d’impôts sur les dividendes pour éviter la surtaxation des revenus provenant de l’étranger, favorisant ainsi les investissements bilatéraux; il est crucial de vérifier les clauses spécifiques de chaque accord pour comprendre leur impact sur les transactions fiscales.

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A propos de l'auteur
Cyril Jarnias

Cyril Jarnias est un expert indépendant en gestion de patrimoine internationale avec plus de 20 ans d'expérience. Expatrié, il se consacre à aider les particuliers et les chefs d'entreprise à construire, protéger et transmettre leur patrimoine en toute sérénité.

Sur son site cyriljarnias.com, il développe son expertise sur l’immobilier international, la création de société à l’étranger et l’expatriation.

Grâce à son expertise, il offre des conseils avisés pour optimiser la gestion patrimoniale de ses clients. Cyril Jarnias est également reconnu pour ses interventions dans de nombreux médias prestigieux tels que BFM Business, les Français de l’étranger, Le Figaro, Les Echos ou encore Mieux vivre votre argent, où il partage ses connaissances et son savoir-faire en matière de gestion de patrimoine.

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