Investir au Panama via une SCI : avantages et pièges

Publié le et rédigé par Cyril Jarnias

Investir au Panama via une SCI : Opportunités et Pièges à Éviter

Le Panama, avec son économie en plein essor et sa situation géographique stratégique, est devenu une destination de choix pour les investisseurs internationaux cherchant à diversifier leurs portefeuilles. Lever le voile sur les opportunités qu’offre ce pays fascinant nécessite de comprendre les mécanismes financiers locaux, notamment l’utilisation d’une SOCIÉTÉ CIVILE IMMOBILIÈRE (SCI) comme outil d’investissement.

Adopter le modèle de la SCI peut offrir des avantages significatifs, notamment une structure fiscale attrayante et une gestion flexible du patrimoine immobilier, mais il est crucial d’être conscient des pièges potentiels qui peuvent faire dérailler même les meilleures stratégies.

Cet article explore en profondeur comment maximiser les bénéfices tout en évitant les écueils lors de l’investissement au Panama via une SCI, fournissant aux investisseurs des conseils inestimables pour naviguer dans ce marché prometteur.

Sommaire de l'article masquer

Optimiser la structure juridique pour investir au Panama

Structures juridiques pour investir au Panama

Les investisseurs étrangers disposent de plusieurs options de structures juridiques pour investir dans l’immobilier au Panama, parmi lesquelles :

  • Société anonyme panaméenne (S.A.)
  • Fondation d’intérêt privé
  • Société à responsabilité limitée (SRL)
  • Société Civile Immobilière (SCI), bien que ce terme soit d’origine française, il désigne ici l’utilisation d’une société panaméenne à vocation immobilière
  • Acquisition en nom propre

Comparatif des structures juridiques courantes

StructureAvantages principauxInconvénients / Limites
Société anonyme (S.A.)Anonymat, flexibilité, protection des actifs, transmission facilePlus de formalisme, obligations comptables
Fondation d’intérêt privéProtection patrimoniale, planification successoraleUsage commercial limité, coût supérieur
Société à responsabilité limitéeResponsabilité limitée, gestion simplifiéeMoins de confidentialité
Acquisition en nom propreProcédure simple, coût réduitRisques juridiques et fiscaux directs

Avantages fiscaux et juridiques

  • S.A. : Les revenus générés hors du Panama ne sont pas imposés localement (principe de territorialité). Les dividendes issus de revenus non panaméens sont généralement exonérés d’impôt. Anonymat des actionnaires possible.
  • Fondation d’intérêt privé : Pas d’imposition sur les revenus étrangers, utile pour la protection d’actifs et la transmission. Ne peut cependant pas exercer d’activité commerciale à titre principal.
  • SCI/Société immobilière : Permet de séparer patrimoine personnel et professionnel, facilite la gestion collective, la revente de parts et la succession. Fiscalité avantageuse pour les revenus locatifs ou plus-values selon la structuration.
  • En nom propre : Simplicité, mais exposition maximale aux risques et à la fiscalité directe.

Démarches administratives, coûts et délais

StructureDémarches principalesCoût estimatif (création)Délai moyen de création
S.A. / SRLRédaction des statuts, enregistrement public, obtention RUC fiscal1 000 – 2 000 USD1 à 2 semaines
Fondation d’intérêt privéActe de constitution, enregistrement, désignation du conseil de fondation1 500 – 3 000 USD2 à 3 semaines
Acquisition en nom propreVérification du titre, acte notarié, enregistrement foncier500 – 1 500 USD1 à 2 semaines

Réglementations locales et internationales

  • Obligations de transparence : Depuis 2020, Panama a renforcé la transparence sur les bénéficiaires effectifs et lutte contre le blanchiment d’argent. Les structures doivent déclarer leurs actionnaires ou bénéficiaires réels aux autorités.
  • Traités fiscaux internationaux : Panama a signé plusieurs conventions pour éviter la double imposition et échanger des informations fiscales, ce qui limite certaines stratégies d’optimisation agressives.
  • Loi anti-blanchiment : Les sociétés doivent prouver la provenance des fonds et respecter les exigences du GAFI. Les avocats et notaires sont tenus à des obligations de vigilance renforcées.

Implications fiscales

  • Revenus immobiliers générés au Panama : Imposés localement, même via une structure.
  • Revenus générés à l’étranger : Généralement non imposés au Panama.
  • Double imposition : La présence ou non de convention fiscale entre le Panama et le pays de résidence de l’investisseur peut entraîner une imposition supplémentaire ou permettre une exemption/compensation.
  • Exonérations : Certains investissements immobiliers peuvent bénéficier d’exonérations temporaires d’impôt foncier (jusqu’à 20 ans dans certains cas).

Exemples concrets d’investissements réussis

  • Exemple 1 : Un investisseur français a acquis un immeuble locatif via une société anonyme panaméenne. Il a pu transmettre facilement les parts à ses héritiers tout en bénéficiant d’une fiscalité locale optimisée et d’un anonymat vis-à-vis du public.
  • Exemple 2 : Une famille a utilisé une fondation d’intérêt privé pour acquérir des terrains, protégeant ainsi les actifs des risques liés à des créanciers, tout en planifiant la succession de façon efficace et fiscalement avantageuse.

Conseils pour éviter les pièges courants

  • Ne pas négliger la vérification du titre de propriété : Toujours s’assurer que le bien est libre de toute hypothèque ou litige.
  • Choisir la structure en fonction du projet : Une société anonyme est adaptée à l’investissement locatif ou à la revente, alors qu’une fondation convient pour la protection patrimoniale.
  • Respecter toutes les obligations fiscales et déclaratives : Omettre de déclarer les bénéficiaires effectifs ou des revenus peut entraîner des sanctions lourdes.
  • S’entourer de professionnels locaux compétents : Avocats spécialisés, notaires, experts-comptables et conseillers fiscaux sont indispensables.

Ressources recommandées

  • Cabinets d’avocats spécialisés en droit immobilier et sociétés (ex : Alcogal, Morgan & Morgan)
  • Notaires expérimentés à Panama City
  • Cabinets d’expertise comptable locaux
  • Chambres de commerce binationales (France-Panama, Espagne-Panama)
  • Sites officiels : Registre Public du Panama, Ministère du Commerce et de l’Industrie

Pour maximiser la sécurité et l’optimisation fiscale, il est fortement recommandé de consulter un avocat local avant toute démarche et de vérifier régulièrement l’évolution des réglementations panaméennes et internationales.

Bon à savoir :

Au Panama, les investisseurs étrangers peuvent choisir parmi plusieurs structures juridiques telles que les sociétés anonymes, les fondations d’intérêt privé, et les Sociétés Civiles Immobilières (SCI) particulièrement avantageuses pour l’immobilier grâce à leurs avantages fiscaux. Les SCI offrent des bénéfices en termes de réduction de l’impôt sur les gains immobiliers sous certaines conditions, mais exigent une attention particulière aux lois locales et internationales, notamment les traités fiscaux pour éviter la double imposition. L’établissement d’une SCI requiert des démarches comme l’enregistrement notarial, prenant généralement quelques semaines et engendrant des coûts de service juridique pouvant varier. La connaissance des réglementations anti-blanchiment d’argent est cruciale, tout comme le recours à des méthodes éprouvées comme l’utilisation de consultants locaux pour se conformer aux obligations fiscales. Un exemple notable est le succès de projets résidentiels réalisés via SCI, profitant des exonérations prévues par les traités, avec des ressources fiables comme le consulat français au Panama qui peut orienter les nouveaux investisseurs. Éviter les pièges courants implique de bien comprendre les obligations légales et les risques de mauvaise structuration, tandis que des conseils d’experts financiers locaux peuvent garantir une mise en place optimale de ces structures.

Les avantages de l’achat immobilier via une sci au Panama

Avantages fiscaux potentiels de l’achat immobilier via une SCI au Panama

Avantage fiscalDétail spécifique au PanamaDétail lié à la SCI
Taxe foncière progressive0 % à 2,10 % selon la valeur cadastrale, avec exemption sur les 30 000 premiers dollars.Répartition de la charge fiscale selon les parts sociales.
Absence de taxe d’habitationÉconomie supplémentaire pour l’investisseur.Améliore la rentabilité nette.
Exonération sur biens neufsJusqu’à 20 ans d’exonération de taxe foncière pour les constructions neuves.Optimisation fiscale pour les acquisitions récentes.
Imposition sur la plus-value10 % généralement sur la plus-value en cas de revente.Application de l’abattement pour durée de détention selon le régime de la SCI.
Imposition sur les revenus locatifsSeuls les revenus générés au Panama sont imposés, principe de territorialité.Déductibilité des intérêts d’emprunt et charges via la SCI.

Flexibilité de gestion et transmission patrimoniale via la SCI

  • La SCI permet de répartir les parts sociales entre plusieurs associés, facilitant ainsi l’intégration de membres d’une même famille ou d’investisseurs tiers.
  • Cette structure simplifie la transmission du patrimoine : la donation ou la succession de parts sociales est généralement plus flexible que la transmission directe de biens immobiliers.
  • La gestion collective permet une adaptation des droits de vote et de gestion, en fonction de la répartition des parts.

Protection des actifs et réduction des risques financiers

La SCI assure une séparation stricte entre le patrimoine personnel des associés et le patrimoine immobilier détenu par la société.

En cas de difficultés financières, seuls les biens appartenant à la SCI sont concernés, limitant ainsi le risque pour les biens personnels des associés.

Cette séparation renforce également la protection contre les créanciers personnels des associés.

Amélioration de la crédibilité bancaire et accès au financement

La structure juridique de la SCI, souvent perçue comme plus professionnelle, facilite l’obtention de financements auprès des banques.

La possibilité de regrouper plusieurs investisseurs au sein d’une même SCI peut augmenter la capacité d’emprunt et permettre des montages financiers plus ambitieux.

Discrétion et confidentialité

La SCI offre une certaine confidentialité sur la détention immobilière : c’est la société qui figure au registre foncier, et non les associés individuellement.

Au Panama, la structure juridique, associée à un environnement favorable à la discrétion des affaires, permet de préserver la confidentialité des investissements immobiliers.

Résumé des avantages clés :

  • Fiscalité attractive (exonérations, absence de taxe d’habitation, déductions).
  • Gestion flexible et transmission facilitée du patrimoine.
  • Protection du patrimoine personnel par la séparation des actifs.
  • Accès facilité au crédit bancaire.
  • Confidentialité accrue sur la détention des biens.

L’achat immobilier via une SCI au Panama constitue ainsi une solution efficace pour optimiser fiscalement ses investissements, protéger ses actifs et préparer la transmission patrimoniale tout en préservant une grande discrétion.

Bon à savoir :

Acheter un bien immobilier via une SCI au Panama présente plusieurs avantages, notamment fiscaux, avec des réductions potentielles d’impôts sur les revenus locatifs. La SCI offre une grande flexibilité de gestion en permettant la répartition des parts entre plusieurs associés, ce qui facilite la transmission patrimoniale et la protection des actifs. Grâce à la séparation entre patrimoine personnel et professionnel, les risques financiers sont également réduits, tandis que la structure de la SCI améliore la crédibilité bancaire, facilitant ainsi l’obtention de financements. De plus, la discrétion qu’offre une SCI peut séduire ceux qui souhaitent maintenir une certaine confidentialité sur leurs investissements.

Comprendre l’optimisation fiscale avec une sci au Panama

Une société civile immobilière (SCI) au Panama peut être utilisée pour l’optimisation fiscale grâce à plusieurs mécanismes, tout en restant dans le cadre légal local et international.

Principaux mécanismes d’optimisation fiscale via une SCI au Panama :

  • Régime fiscal territorial : Seuls les revenus générés sur le territoire panaméen sont imposables. Les revenus provenant de l’étranger ne sont pas soumis à la fiscalité locale. Cela permet aux investisseurs étrangers de ne payer des impôts que sur leurs activités immobilières situées au Panama, tandis que les autres flux restent exonérés.
  • Absence d’impôt sur la fortune, successions et donations : Le Panama n’applique pas d’imposition sur ces éléments patrimoniaux, ce qui facilite la transmission et la gestion du patrimoine immobilier via une SCI.
  • Structures juridiques robustes : La création de sociétés holding ou fondations permet de structurer efficacement son patrimoine immobilier et ses flux financiers en toute légalité.

Spécificités fiscales du Panama

AspectDétail
RégimeTerritorial
Impôt sociétés15 % jusqu’à 50 000 USD/an puis 25 % au-delà (sur bénéfices locaux uniquement)
Revenus étrangersNon imposés
TVA/ITBMSTaux variable selon activité
Succession/DonationExonération totale

Implications fiscales pour différents types de revenus

  • Revenus locatifs locaux : Imposés selon le barème progressif si générés par des biens situés au Panama.
  • Revenus locatifs étrangers : Exonérés tant qu’ils ne proviennent pas du territoire panaméen.
  • Plus-values immobilières locales : Soumises à l’impôt uniquement si réalisées lors d’une cession située à l’intérieur du pays.
  • Transferts de propriété :
    • Sur biens panaméens, taxation conforme aux règles locales.
    • Sur biens hors-Panama détenus par la SCI panaméenne, aucune imposition locale.

Conventions fiscales internationales

Le nombre de conventions bilatérales est limité ; il faut vérifier spécifiquement avec le pays résidentiel/fiscal des associés. L’absence ou la faiblesse des accords peut entraîner une double imposition dans certains cas ou limiter les possibilités d’évitement.

Risques et pièges liés à une mauvaise gestion fiscale

Liste des principaux risques :

  • Non-respect des obligations déclaratives dans les juridictions concernées
  • Utilisation abusive conduisant à requalification comme évasion/fraude fiscale
  • Risque lié aux changements réglementaires internationaux concernant transparence et lutte anti-blanchiment
  • Mauvaise interprétation du régime territorial pouvant aboutir à un redressement fiscal

Sources fiables pour conseils professionnels

Liste recommandée :

  • Cabinets spécialisés en expatriation fiscale basés au Panama disposant d’experts francophones

Pour garantir conformité :

  1. Consulter systématiquement un avocat fiscaliste local qualifié avant toute opération complexe
  2. Privilégier les cabinets ayant expérience internationale et connaissance approfondie des conventions bilatérales
  3. S’assurer régulièrement auprès d’un expert-comptable agréé que toutes déclarations sont conformes

Attention ! Une optimisation mal encadrée expose aux sanctions lourdes (pénalités financières, blocage bancaire voire poursuites judiciaires). La transparence avec tous les organismes concernés est impérative pour sécuriser votre stratégie immobilière internationale

Bon à savoir :

Utiliser une société civile immobilière (SCI) au Panama pour l’optimisation fiscale peut être avantageux grâce au régime fiscal territorial, signifiant que seuls les revenus générés localement sont imposables, laissant potentiellement exempte la plupart des revenus internationaux. Cela permet aux investisseurs étrangers d’économiser, notamment sur les revenus locatifs issus de biens situés en dehors du pays, évitant double imposition grâce aux conventions fiscales bilatérales que le Panama a conclues avec d’autres pays. Cependant, il est essentiel de rester vigilant quant aux lois locales et internationales, car une mauvaise gestion pourrait entraîner des sanctions sévères. Les plus-values immobilières et les transferts de propriété peuvent également bénéficier d’une fiscalité optimisée en respectant scrupuleusement la législation fiscale locale. Les investisseurs doivent se méfier des erreurs courantes, comme la mauvaise déclaration des revenus, et il est fortement recommandé de consulter des experts fiscalistes spécialisés en droit panaméen pour garantir une conformité totale et sécuriser ainsi les avantages fiscaux potentiels.

Les pièges à éviter dans l’investissement au Panama

Pièges courants pour les investisseurs via une SCI au Panama

  • Méconnaissance du cadre légal panaméen régissant les entités étrangères
  • Risques liés à la fiscalité internationale et à la double imposition
  • Complications administratives spécifiques au pays
  • Volatilité du marché immobilier local et incertitudes économiques
  • Barrières culturelles et linguistiques

Complications juridiques et administratives potentielles

La loi panaméenne impose des restrictions sur l’acquisition de biens immobiliers par des entités étrangères, notamment près des frontières (moins de 10 km).

Les procédures d’enregistrement, de transfert de propriété ou d’obtention de financement peuvent différer radicalement des standards européens ou nord-américains.

Le non-respect des obligations légales peut entraîner des sanctions, voire la nullité d’actes.

Risque juridiqueDescription
Restrictions foncièresLimites pour les étrangers sur certains types ou zones immobilières
Responsabilité pénaleRisque de poursuites en cas d’erreurs fiscales ou administratives graves
Complexité administrativeFormalisme élevé lors du montage, gestion et dissolution d’une SCI locale

Pièges fiscaux majeurs

  • Comprendre les conventions fiscales entre le Panama et le pays de résidence fiscale est essentiel afin d’éviter la double imposition.
  • Les revenus générés par une SCI offshore peuvent faire l’objet d’un rappel fiscal dans le pays du propriétaire avec majorations importantes si non déclarés correctement.
  • Le Panama offre un régime fiscal attractif mais cela suppose un respect strict des règles locales ; toute négligence peut entraîner enquêtes pour fraude fiscale.

Risques liés au marché immobilier panaméen

  • Le marché est dynamique mais exposé à une volatilité notable due aux évolutions économiques régionales, aux politiques publiques, voire aux tensions diplomatiques (notamment liées aux investissements étrangers).
  • La rentabilité dépend fortement :
  • De l’emplacement géographique (zones urbaines vs. rurales)
  • Des fluctuations du dollar américain utilisé comme monnaie officielle
  • Du niveau réel de demande locative

Barrières culturelles et linguistiques

  • Les pratiques commerciales panaméennes diffèrent sensiblement : négociations longues, importance accrue du réseau relationnel local.
  • La maîtrise insuffisante de l’espagnol peut ralentir toutes démarches contractuelles ou bancaires.

Conseils pour atténuer ces risques

  • Faire appel systématiquement à un avocat fiscaliste spécialisé en droit international.
  • S’entourer d’experts locaux : notaires, agents immobiliers bilingues.
  • Prendre connaissance en amont des conventions fiscales applicables.
  • Apprendre les bases pratiques du fonctionnement administratif panaméen ainsi que les usages commerciaux locaux.

Liste pratique :

  • Vérifier systématiquement la légalité foncière avant acquisition
  • Demander conseil sur la structure optimale selon situation fiscale personnelle
  • Traduire tous documents importants en espagnol auprès professionnels certifiés
  • S’informer régulièrement sur l’évolution économique/politique locale via sources fiables

Bon à savoir :

Investir via une SCI au Panama nécessite une bonne connaissance des lois locales régissant les entités étrangères; ne pas se conformer à ces règles peut entraîner des complications administratives et juridiques. Il est crucial de bien comprendre les conventions fiscales pour éviter la double imposition tout en maximisant les avantages fiscaux potentiels. Les fluctuations du marché immobilier et les dynamiques économiques locales, souvent volatiles, peuvent également représenter un risque; des erreurs d’évaluation peuvent sérieusement affecter les rendements. Sur le plan culturel, la langue et les pratiques commerciales panaméennes peuvent poser des défis; il est recommandé d’engager des conseillers locaux ou d’acquérir des connaissances élémentaires sur le milieu des affaires pour naviguer efficacement dans ce paysage complexe.

Que vous soyez à la recherche d’un investissement, d’une résidence secondaire ou que vous souhaitiez simplement explorer de nouvelles opportunités, mon expertise en immobilier international est à votre disposition pour vous guider à chaque étape de votre projet. N’hésitez pas à me contacter pour bénéficier de conseils personnalisés et découvrir comment maximiser votre potentiel immobilier à l’étranger.

Décharge de responsabilité : Les informations fournies sur ce site web sont présentées à titre informatif uniquement et ne constituent en aucun cas des conseils financiers, juridiques ou professionnels. Nous vous encourageons à consulter des experts qualifiés avant de prendre des décisions d'investissement, immobilières ou d'expatriation. Bien que nous nous efforcions de maintenir des informations à jour et précises, nous ne garantissons pas l'exhaustivité, l'exactitude ou l'actualité des contenus proposés. L'investissement et l'expatriation comportant des risques, nous déclinons toute responsabilité pour les pertes ou dommages éventuels découlant de l'utilisation de ce site. Votre utilisation de ce site confirme votre acceptation de ces conditions et votre compréhension des risques associés.

A propos de l'auteur
Cyril Jarnias

Cyril Jarnias est un expert indépendant en gestion de patrimoine internationale avec plus de 20 ans d'expérience. Expatrié, il se consacre à aider les particuliers et les chefs d'entreprise à construire, protéger et transmettre leur patrimoine en toute sérénité.

Sur son site cyriljarnias.com, il développe son expertise sur l’immobilier international, la création de société à l’étranger et l’expatriation.

Grâce à son expertise, il offre des conseils avisés pour optimiser la gestion patrimoniale de ses clients. Cyril Jarnias est également reconnu pour ses interventions dans de nombreux médias prestigieux tels que BFM Business, les Français de l’étranger, Le Figaro, Les Echos ou encore Mieux vivre votre argent, où il partage ses connaissances et son savoir-faire en matière de gestion de patrimoine.

Retrouvez-moi sur les réseaux sociaux :
  • LinkedIn
  • Twitter
  • YouTube
Nos guides :