Avantages fiscaux pour investisseurs immobiliers en Nouvelle-Zélande

Publié le et rédigé par Cyril Jarnias

Investir dans l’immobilier en Nouvelle-Zélande

Investir dans l’immobilier en Nouvelle-Zélande offre des opportunités attractives grâce à divers avantages fiscaux qui séduisent de nombreux investisseurs, tant locaux qu’étrangers. Ces incitations ont pour but de dynamiser le marché immobilier tout en soutenant l’économie locale.

Parmi les bénéfices notables, on retrouve des déductions fiscales sur les intérêts d’emprunt, qui peuvent considérablement alléger les charges des investisseurs.

Bon à savoir :

Le régime fiscal néo-zélandais est généralement favorable, avec l’absence de taxes sur les plus-values pour les biens détenus à long terme.

En explorant ces conditions avantageuses, les investisseurs peuvent optimiser leurs portefeuilles et maximiser leur rendement dans un marché immobilier dynamique et en pleine expansion.

Découvrir la fiscalité locale en Nouvelle-Zélande

La fiscalité locale en Nouvelle-Zélande repose principalement sur la taxe foncière (property tax), appelée local rates. Cette taxe constitue la principale source de revenus pour les autorités locales (councils) et finance les services municipaux tels que l’entretien des routes, la gestion des déchets et les infrastructures publiques.

Principales structures fiscales locales :

  • Taxe foncière (local rates) prélevée annuellement par chaque council sur toutes les propriétés immobilières, qu’elles soient résidentielles, commerciales ou industrielles.
  • Pas d’impôt local distinct sur le revenu ; l’impôt sur le revenu est perçu au niveau national.
  • Les councils peuvent également percevoir certaines redevances spécifiques liées à des services particuliers (par exemple : water rates).

Calcul de la taxe foncière :

La base d’imposition repose généralement sur la valeur estimée du bien immobilier (capital value), déterminée lors d’évaluations périodiques officielles. Le montant final dépend :

  • De la valeur de marché estimée du bien
  • Du taux fixé chaque année par le conseil local
  • D’éventuelles taxes additionnelles pour projets locaux ou infrastructures
Type de propriétéBase d’impositionTaux typique*
RésidentielleValeur capitalisée0,2% à 0,5%
Commerciale/industrielleValeur capitaliséeSupérieur à résidentiel
*Les taux varient selon les councils et sont révisés chaque année.

Exemptions et abattements possibles :

Certains propriétaires peuvent bénéficier de réductions partielles ou totales :

  • Propriétaires âgés avec faibles revenus (rates rebate)
  • Biens utilisés à des fins caritatives ou éducatives
  • Programmes temporaires liés à des événements majeurs ou catastrophes naturelles

Les critères précis dépendent du council concerné.

Législation récente impactant l’immobilier :

Depuis l’année fiscale 2024–25 :

  • Un taux de dépréciation zéro s’applique aux bâtiments ayant une durée de vie utile supérieure à 50 ans. Cela limite désormais certains avantages fiscaux liés aux investissements immobiliers locatifs.

La « bright-line test » a été renforcée : tout gain issu de la vente d’un bien résidentiel détenu pendant moins d’une période donnée peut être imposable comme un revenu ordinaire. La durée exacte varie selon l’année d’acquisition mais elle est fréquemment ajustée par le gouvernement dans un objectif anti-spéculatif.

Des mesures restrictives concernant la déductibilité fiscale des intérêts ont aussi été introduites pour limiter certaines stratégies utilisées par les investisseurs immobiliers.

Intégration dans le cadre fiscal global :

Contrairement à beaucoup d’autres pays développés :

  • Il n’existe pas en Nouvelle-Zélande de taxe nationale annuelle spécifique sur la fortune immobilière ni officiellement une « taxe foncière nationale ».

Pour un investisseur international :

  • Les taxes locales s’ajoutent donc uniquement au régime national déjà applicable — notamment impôt progressif sur le revenu en cas de plus-value taxable sous bright-line test.
  • Il n’y a pas non plus actuellement d’impôt national direct spécifique pour simple détention passive (« wealth tax »).

Ressources utiles pour investisseurs étrangers :

Liste non exhaustive :

  • Inland Revenue Department – guide officiel en anglais détaillant tous les aspects fiscaux locaux et nationaux
  • Conseillers fiscaux spécialisés dans l’investissement immobilier néo-zélandais
  • Publications actualisées chez Thomson Reuters ou KPMG recensant toutes modifications législatives récentes applicables

À retenir : La fiscalité locale néo-zélandaise se distingue par sa simplicité relative mais demeure sujette à évolution rapide, notamment sous pression politique liée au logement. Pour optimiser leur situation fiscale, il est vivement conseillé aux investisseurs internationaux un suivi régulier via experts locaux spécialisés et ressources institutionnelles mises à jour annuellement.

Bon à savoir :

En Nouvelle-Zélande, l’impôt local majeur pour les investisseurs immobiliers est la taxe sur la propriété, basée sur la valeur de marché des biens, avec des taux qui varient selon les régions. Ces taxes financent généralement les services municipaux et sont fixées par les conseils locaux. Les investisseurs doivent connaître les taux d’imposition spécifiques de la région où se situe le bien, qui peuvent être consultés sur les sites des conseils municipaux. Des exemptions sont disponibles pour certaines propriétés résidentielles, ce qui peut alléger la charge fiscale. Récemment, des réformes ont ajusté les méthodes d’évaluation foncière, impactant potentiellement la taxe foncière. La fiscalité locale s’intègre au cadre global, qui comprend l’absence d’impôt sur la plus-value à long terme, attirant ainsi les investisseurs étrangers. Pour naviguer dans ce paysage complexe, recourir à un conseiller fiscal local est conseillé pour optimiser la situation notamment en matière de réduction des coûts.

Accords internationaux : éviter la double imposition

Les accords internationaux visant à éviter la double imposition jouent un rôle déterminant pour les investisseurs immobiliers étrangers en Nouvelle-Zélande. Ils permettent d’atténuer, voire d’éliminer, le risque de devoir payer des impôts similaires sur les mêmes revenus dans deux pays différents. Cela concerne notamment l’impôt sur le revenu et l’impôt sur les gains provenant de l’aliénation de biens immobiliers.

Principaux avantages pour les investisseurs immobiliers :

  • Suppression ou réduction de la double imposition sur les revenus locatifs et plus-values immobilières.
  • Crédit d’impôt ou exonération partielle/complète dans le pays de résidence fiscale.
  • Sécurité juridique accrue grâce à des règles claires concernant la répartition du droit d’imposer entre la Nouvelle-Zélande et le pays d’origine.
  • Prévention des risques liés à l’évasion fiscale par des clauses anti-abus intégrées dans ces conventions.

Pays ayant signé une convention avec la Nouvelle-Zélande (exemples) :

PaysDate signaturePrincipaux impôts concernés
France30 novembre 1979Impôt sur le revenu, sociétés
Suisse6 juin 1980 / MAJ 2019Impôts sur le revenu
AustralieImpôt sur le revenu
Royaume-UniImpôt sur le revenu
États-UnisImpôt sur le revenu

La Nouvelle-Zélande dispose actuellement de plus de quarante conventions fiscales bilatérales en vigueur avec ses principaux partenaires commerciaux et investisseurs.

Exemple concret :

Un investisseur français qui acquiert un bien immobilier en Nouvelle-Zélande perçoit des loyers soumis à l’impôt néo-zélandais. Grâce à la convention signée entre ces deux pays, il peut bénéficier :

  • D’une imposition limitée ou exclusive en Nouvelle-Zélande selon la nature du bien
  • D’un crédit d’impôt équivalent en France afin que ses revenus ne soient pas imposés deux fois

Cela favorise ainsi :

  • Une meilleure prévisibilité fiscale lors du montage financier
  • L’attractivité accrue du marché immobilier néo-zélandais pour des capitaux étrangers

Avantages pratiques pour particuliers et entreprises :

  • Optimisation fiscale légale sans risque de requalification abusive
  • Protection contre une charge fiscale excessive pouvant compromettre la rentabilité ou décourager tout projet immobilier transfrontalier
  • Encouragement au développement international via une sécurité financière renforcée

En résumé, ces accords apportent aux investisseurs une stabilité essentielle ainsi que des conditions concurrentielles face aux marchés immobiliers mondiaux comparables. Ils constituent un outil incontournable dans toute stratégie patrimoniale internationale ciblant la Nouvelle-Zélande.

Bon à savoir :

Les accords internationaux visant à éviter la double imposition sont cruciaux pour les investisseurs immobiliers en Nouvelle-Zélande, car ils permettent de réduire ou d’éliminer la charge fiscale supplémentaire pour ceux qui pourraient autrement payer des impôts dans deux pays. La Nouvelle-Zélande a signé de tels accords avec de nombreux pays, dont la France, l’Allemagne, les États-Unis et le Royaume-Uni, offrant ainsi une plus grande sécurité juridique et financière aux investisseurs étrangers. Par exemple, un investisseur français peut acquérir un bien immobilier en Nouvelle-Zélande sans craindre d’être doublement imposé sur les revenus locatifs. Ces dispositifs renforcent l’attractivité du marché immobilier néo-zélandais en facilitant les flux d’investissements, tout en offrant des avantages tangibles comme une planification fiscale simplifiée, des coûts réduits et une nette amélioration des rendements nets pour les particuliers et les entreprises.

Comprendre la taxe foncière et la taxe d’habitation

En Nouvelle-Zélande, la fiscalité immobilière comprend principalement ce que l’on appelle la taxe foncière (rates) et il n’existe pas de taxe d’habitation spécifique comparable à celle pratiquée en France.

Définitions et calculs

  • Taxe foncière (Rates) : C’est une taxe locale prélevée par les conseils municipaux sur les propriétés immobilières. Elle sert à financer les services locaux tels que l’entretien des infrastructures, les écoles, la gestion des déchets, etc. La taxe est calculée en fonction de la valeur estimée du bien immobilier (valeur capitalisée ou taux de base fixé par le conseil local). Cette valeur est déterminée périodiquement par un évaluateur agréé. Le taux appliqué varie selon chaque conseil territorial et le type d’usage du bien (résidentiel, commercial ou industriel).
  • Taxe d’habitation : Contrairement à plusieurs pays européens, la Nouvelle-Zélande ne prélève pas de taxe spécifique liée à l’occupation résidentielle elle-même. Ainsi, aucun impôt distinct n’est dû simplement pour habiter un logement.

Types de biens concernés

La taxe foncière s’applique aux terrains ainsi qu’aux bâtiments situés sur ces terrains, quelle que soit leur destination : logements privés occupés ou loués, locaux commerciaux ou industriels.

Impact sur les investisseurs immobiliers

Pour un investisseur immobilier :

  • La taxe foncière représente une charge régulière qui doit être prise en compte dans le calcul de rentabilité locative.
  • Les montants varient grandement selon la localisation et peuvent influencer les décisions d’investissement.
  • En revanche, il n’y a pas de charge additionnelle comme une « taxe d’habitation » qui pèserait spécifiquement sur l’occupant.

Exemptions et réductions

Certaines exemptions partielles peuvent exister :

  • Biens appartenant à des organismes caritatifs.
  • Propriétés agricoles dans certaines zones rurales peuvent bénéficier de taux réduits.

Cependant, pour un investisseur classique dans l’immobilier résidentiel locatif urbain ou commercial il n’y a généralement pas d’exonérations spécifiques notables concernant cette taxe locale.

Évolutions récentes et réformes fiscales

La fiscalité locale néo-zélandaise est régulièrement ajustée au niveau des conseils municipaux avec parfois des hausses modérées des taux pour répondre aux besoins croissants en services publics. Concernant la fiscalité nationale liée aux revenus issus des biens immobiliers :

  • Des mesures visant à limiter la spéculation ont été introduites ces dernières années (exemple : taxes supplémentaires sur certains profits immobiliers).

Ces évolutions influencent indirectement les stratégies d’investissement en augmentant le coût global lié au patrimoine immobilier mais sans modifier directement le mode de calcul ni l’assiette principale des taxes locales comme la taxe foncière.

AspectTaxe FoncièreTaxe d’Habitation
NatureTaxe locale basée sur valeurNon applicable en NZ
AssietteValeur estimée du terrain + bâtimentN/A
TauxVariable selon conseil localN/A
Biens concernésRésidentiel / Commercial / IndustrielN/A
Exemptions possiblesOrganismes caritatifs; agricoleN/A
Impact investisseursCharge régulière importanteAucune

Points clés importants

  • Pas de « taxe d’habitation » proprement dite en Nouvelle-Zélande.
  • La « taxe foncière » est essentielle pour financer services locaux et dépend fortement du lieu géographique.
  • Investisseurs doivent intégrer cette charge dans leurs coûts fixes annuels liés au bien immobilier.
  • Quelques exonérations existent mais restent limitées hors cas spécifiques.
  • Réformes fiscales nationales ciblent surtout revenus/profits liés à l’immobilier plutôt que taxes locales directes.

Ce cadre fiscal encourage donc une approche prudente quant aux charges locales lors du choix géographique et typologique pour tout investissement immobilier en Nouvelle-Zélande.

Bon à savoir :

En Nouvelle-Zélande, la taxe foncière est une charge annuelle basée sur la valeur du bien immobilier, principalement utilisée pour financer les services locaux tels que l’entretien des routes et les infrastructures. La taxe d’habitation, quant à elle, n’existe pas sous la même forme qu’en France ou au Royaume-Uni; toutefois, les investisseurs doivent être conscients de l’impôt sur les revenus locatifs qui peut s’appliquer. Les investisseurs immobiliers en Nouvelle-Zélande bénéficient souvent d’exemptions ou de réductions comme la dépréciation des biens locatifs sur certaines dépenses d’entretien. Par exemple, une réforme de 2021 a introduit des limitations sur la déductibilité des intérêts sur les prêts hypothécaires pour des propriétés résidentielles, influençant la rentabilité des investissements locatifs. Ces changements soulignent l’importance de rester informé sur les dernières modifications fiscales pour optimiser sa stratégie d’investissement.

Comparaison internationale : la Nouvelle-Zélande face à d’autres pays

En Nouvelle-Zélande, les avantages fiscaux pour les investisseurs immobiliers se distinguent par leur simplicité et leur accessibilité, en particulier pour les investisseurs étrangers. Le système fiscal néo-zélandais offre plusieurs spécificités :

  • Absence de taxe sur les plus-values immobilières (capital gains tax), sauf en cas de revente du bien dans un délai inférieur à 5 ans après l’achat, auquel cas la plus-value est imposée au taux de l’impôt sur le revenu.
  • Déductions possibles sur certaines charges liées à l’investissement locatif (intérêts d’emprunt, frais d’entretien), bien que ces règles aient été restreintes récemment pour limiter la spéculation.
  • Pour certains véhicules d’investissement comme les Sociétés Immobilières Néo-Zélandaises (SINZ), il n’est pas nécessaire d’obtenir un numéro fiscal néo-zélandais ni de faire une déclaration annuelle pour les non-résidents ; la fiscalité est prélevée à la source à un taux unique de 15% sur les revenus générés.

Comparaison avec des pays similaires :

PaysTaxe sur plus-valueDéductions fiscales principalesFiscalité spécifique aux étrangersTaux moyen IR/CGT
Nouvelle-ZélandeNon*Charges déductibles limitéesPrélèvement forfaitaire via SINZ15% (revenus SINZ)
AustralieOuiIntérêts, amortissementsWithholding tax non-résidentsJusqu’à 45% CGT
CanadaOuiIntérêts hypothécaires limitésWithholding tax non-résidents~25%-50% selon province
Royaume-UniOuiAmortissements, intérêts restreintsNon-doms regime – complexité accrue>18%-28% CGT
États-UnisOui**Intérêts, amortissements étendusFIRPTA : prélèvement obligatoire non-résidents>20%-37%, selon tranches

* En NZ : taxation si revente avant 5 ans
** US : Federal + State Capital Gains Tax

Liste des mesures récentes influant sur l’attractivité fiscale en Nouvelle-Zélande :

  • Introduction depuis octobre 2015 du « bright-line test » qui impose la plus-value si le bien est revendu dans un délai court (initialement deux ans puis cinq ans).
  • Réduction progressive des possibilités de déduire certains frais financiers liés aux investissements locatifs résidentiels.
  • Maintien d’un régime simplifié et peu contraignant pour l’investissement via SINZ destiné aux investisseurs internationaux.

Facteurs influençant la décision des investisseurs :

La simplicité administrative et fiscale rend la Nouvelle-Zélande attractive comparativement à l’Australie ou au Royaume-Uni où déclarations complexes et régimes spécifiques s’appliquent.

L’absence quasi-générale de capital gains tax demeure une incitation forte tant que le bien n’est pas revendu trop rapidement.

Les récentes restrictions visant à limiter certains avantages fiscaux indiquent toutefois une volonté politique croissante d’encadrer davantage le marché immobilier.

Évolution quantitative récente :

Les prix immobiliers néo-zélandais devraient augmenter en moyenne de +3,8 % en 2025 après plusieurs années de stabilisation. Cette tendance renforce potentiellement le rendement brut mais pourrait être contrebalancée par une réglementation fiscale progressivement moins favorable.

En synthèse :

La Nouvelle-Zélande conserve aujourd’hui un environnement fiscal attractif grâce à sa simplicité administrative (notamment via SINZ) et son absence générale d’imposition sur les plus-values. Toutefois, elle tend vers davantage de régulation afin d’éviter la spéculation excessive. Ce positionnement diffère sensiblement des modèles australien ou nord-américain beaucoup plus restrictifs et administrativement lourds.

Ce contexte continue donc d’attirer particulièrement ceux qui recherchent flexibilité et efficacité dans leurs placements internationaux tout en restant attentifs aux évolutions réglementaires récentes susceptibles d’influer durablement cette attractivité.

Bon à savoir :

En Nouvelle-Zélande, les investisseurs immobiliers bénéficient d’avantages fiscaux comme la déductibilité des intérêts hypothécaires et l’absence de taxe sur les gains en capital pour les biens détenus plus de cinq ans. En revanche, l’Australie propose des déductions fiscales similaires, mais elle impose une taxe sur les gains en capital sur presque toutes les ventes immobilières. Aux États-Unis et au Canada, les investisseurs peuvent bénéficier de déductions pour l’amortissement des biens, en plus des crédits d’impôt pour des rénovations écoénergétiques, bien que la taxe sur les gains en capital s’applique également. Le Royaume-Uni offre une exonération pour les premiers 12 300 £ de gains en capital, mais la récente augmentation de la taxe sur les dividendes immobilier pourrait freiner l’investissement étranger. Ces différences fiscales influencent fortement les décisions d’investissement, avec des tendances récentes montrant une attrait croissant pour la Nouvelle-Zélande en raison de la stabilité de son marché et de son cadre fiscal avantageux.

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A propos de l'auteur
Cyril Jarnias

Cyril Jarnias est un expert indépendant en gestion de patrimoine internationale avec plus de 20 ans d'expérience. Expatrié, il se consacre à aider les particuliers et les chefs d'entreprise à construire, protéger et transmettre leur patrimoine en toute sérénité.

Sur son site cyriljarnias.com, il développe son expertise sur l’immobilier international, la création de société à l’étranger et l’expatriation.

Grâce à son expertise, il offre des conseils avisés pour optimiser la gestion patrimoniale de ses clients. Cyril Jarnias est également reconnu pour ses interventions dans de nombreux médias prestigieux tels que BFM Business, les Français de l’étranger, Le Figaro, Les Echos ou encore Mieux vivre votre argent, où il partage ses connaissances et son savoir-faire en matière de gestion de patrimoine.

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